Le chef de file de Pastef craint pour sa vie. Face à la presse, ce mardi, Ousmane Sonko a révélé qu’il reçoit des menaces de mort. Ainsi, il a demandé au président de la République d’assurer sa sécurité. À défaut, prévient-il, il sera responsable de tout ce qui lui arrivera.
«Nous avons écrit au ministre de l’Intérieur qui, lui-même, m’a publiquement menacé, pour que l’Etat assure ma protection. Espérons simplement que Macky Sall, même si j’en doute fort, aura l’élégance du Président Abdoulaye Wade qui, en 2012, lui avait accordé cette même protection. A défaut, nous avisons toute l’opinion nationale et internationale, que tout ce qui nous arrivera, sera de la responsabilité exclusive de Macky Sall et de son régime.»
Ousmane Sonko poursuit : «Aujourd’hui on agite des arguments de terrorisme tantôt, demain de violence, après-demain d’argent illicite ou de drogue. Nous n’excluons pas qu’il profite de nos événements ou s’introduire chez nous pour y glisser des substances prohibées et faire ensuite débarquer chez nous des limiers pour nous accuser de quelque chose de très grave.»
Malgré tout, assure Sonko, la peur n’habite pas Pastef. «Tout le peuple sénégalais constate que la peur est dans l’autre camp. Il suffit qu’on annonce une sortie d’Ousmane Sonko pour que ça tremblote comme des feuilles, raille l’inspecteur des impôts radié. Je veux rassurer tout le monde qu’il n’y aucun paranoïa encore moins une victimisation.»
SENEWEB
«Nous avons écrit au ministre de l’Intérieur qui, lui-même, m’a publiquement menacé, pour que l’Etat assure ma protection. Espérons simplement que Macky Sall, même si j’en doute fort, aura l’élégance du Président Abdoulaye Wade qui, en 2012, lui avait accordé cette même protection. A défaut, nous avisons toute l’opinion nationale et internationale, que tout ce qui nous arrivera, sera de la responsabilité exclusive de Macky Sall et de son régime.»
Ousmane Sonko poursuit : «Aujourd’hui on agite des arguments de terrorisme tantôt, demain de violence, après-demain d’argent illicite ou de drogue. Nous n’excluons pas qu’il profite de nos événements ou s’introduire chez nous pour y glisser des substances prohibées et faire ensuite débarquer chez nous des limiers pour nous accuser de quelque chose de très grave.»
Malgré tout, assure Sonko, la peur n’habite pas Pastef. «Tout le peuple sénégalais constate que la peur est dans l’autre camp. Il suffit qu’on annonce une sortie d’Ousmane Sonko pour que ça tremblote comme des feuilles, raille l’inspecteur des impôts radié. Je veux rassurer tout le monde qu’il n’y aucun paranoïa encore moins une victimisation.»
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