L’ancien ministre de l’intérieur a tenu, dimanche, une mobilisation sociale et politique chez lui, regroupant ses sympathisants, personnalités religieuses et coutumières, en vue de lancer officiellement le mouvement Libéral Ca Kanam (LCK), et procéder, par la même occasion, à l’installation de la section locale.
Des témoignages d’adhésion, des serments d’allégeance de la nouvelle dynamique politique ont ponctué cette rencontre.
Dans son allocution rythmée d’ovations, Me Ousmane Ngom a fait part de se son serment de « tourner le dos à la politique politicienne », en indiquant être résolument engagé, désormais, à mener « des actions de développement en faveur des populations ».
« J’ai tiré les leçons de toute l’expérience politique que j’ai capitalisée sur la scène politique. Nous avons constaté que les acteurs politiques ne s’occupent pas convenablement du vécu quotidien des populations. Nous avons lancé le LCK pour promouvoir le développement à la base », a-t-il déclaré.
« Ce qui est nouveau, c’est qu’en plus de l’engagement des femmes de développement et des leaders d’opinion, nous avons reçu le soutien des guides religieux et spirituels ont compris le message que nous avons lancé et qui ont décidé de le prendre en charge. C’est une dynamique nouvelle à notre mouvement », a-t-il expliqué.
« Il s’agit d’aider les populations à la base à être des acteurs majeurs du développement dans le cadre de l’émergence du pays. Il ne faudrait pas au moment de l’émergence qu’un groupe s’accapare des fruits de la croissance en laissant les braves populations en rade », a-t-il ajouté.
« Il faut s’occuper du petit matin des populations en attendant le grand soir », a-t-il proclamé, en indiquant que le LCK va entreprendre « des actions de développement par le biais d’un encadrement des populations afin de les aider à mettre en place des activités génératrices de revenus ».
> Des images de la cérémonie de lancement
Des témoignages d’adhésion, des serments d’allégeance de la nouvelle dynamique politique ont ponctué cette rencontre.
Dans son allocution rythmée d’ovations, Me Ousmane Ngom a fait part de se son serment de « tourner le dos à la politique politicienne », en indiquant être résolument engagé, désormais, à mener « des actions de développement en faveur des populations ».
« J’ai tiré les leçons de toute l’expérience politique que j’ai capitalisée sur la scène politique. Nous avons constaté que les acteurs politiques ne s’occupent pas convenablement du vécu quotidien des populations. Nous avons lancé le LCK pour promouvoir le développement à la base », a-t-il déclaré.
« Ce qui est nouveau, c’est qu’en plus de l’engagement des femmes de développement et des leaders d’opinion, nous avons reçu le soutien des guides religieux et spirituels ont compris le message que nous avons lancé et qui ont décidé de le prendre en charge. C’est une dynamique nouvelle à notre mouvement », a-t-il expliqué.
« Il s’agit d’aider les populations à la base à être des acteurs majeurs du développement dans le cadre de l’émergence du pays. Il ne faudrait pas au moment de l’émergence qu’un groupe s’accapare des fruits de la croissance en laissant les braves populations en rade », a-t-il ajouté.
« Il faut s’occuper du petit matin des populations en attendant le grand soir », a-t-il proclamé, en indiquant que le LCK va entreprendre « des actions de développement par le biais d’un encadrement des populations afin de les aider à mettre en place des activités génératrices de revenus ».
> Des images de la cérémonie de lancement