L’Ornithondar est monté au créneau pour décrier le massacre des « centaines de requins-marteaux halicornes (sphyrna lewini, scalloped hammerhead) débités, séchés et rangés au carré sur des palettes, à Sal-Sal, entre les dernières bâtisses du quartier de Goxuumbacc et les filaos frontaliers de la Mauritanie.
D es ailerons, de têtes et autres chairs de ces requins sont transformés en « tambadiang », nom local donné à ce poisson séché, puis transportés et la Casamance, la Gambie, le Ghana et même vers la Chine populaire.
Un commerce juteux toujours en expansion et qui expose dangereusement cet espèce marine à un réel danger de disparition.
Une question qui sera soulevée lors d’un colloque qui s'ouvre ce lundi à Dakar et qui se penchera notamment sur le triste sort des requins d'Afrique occidentale.
Cheikh Saad Bou Seye
D es ailerons, de têtes et autres chairs de ces requins sont transformés en « tambadiang », nom local donné à ce poisson séché, puis transportés et la Casamance, la Gambie, le Ghana et même vers la Chine populaire.
Un commerce juteux toujours en expansion et qui expose dangereusement cet espèce marine à un réel danger de disparition.
Une question qui sera soulevée lors d’un colloque qui s'ouvre ce lundi à Dakar et qui se penchera notamment sur le triste sort des requins d'Afrique occidentale.
Cheikh Saad Bou Seye