"Le baccalauréat arabe sera organisé cette année. Le décret portant sa création sera bientôt soumis au conseil des ministres", a-t-il annoncé à l'occasion de la cérémonie de remise de diplômes aux quinze élèves de la première promotion du centre d'excellence Al Azhar de Fass Mbao. Sur instruction du président de la République, Macky Sall, des réflexions ont été menés sur la question, selon M. Niane.
Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a signalé, pour s'en féliciter, que l'institut Al Azhar est une institution qui "applique actuellement les recommandations fortes des concertations nationales sur l'avenir de l'enseignement supérieur" (CNAES).
"L'enseignement professionnel, l'intégration de certaines langues dans le système sont parmi les recommandations des CNAES, auxquelles l'institut Al Azhar a participé. Et ces recommandations sont actuellement appliquées par l'institut (dans ses programmes)", a-t-il dit.
Le ministre de l'Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, a pour sa part déclaré que "l'institut Al Azhar est un symbole de la maitrise de la modernité". Il est "la preuve que les différences entre l'enseignement islamique traditionnel et l'enseignement moderne ne sont plus", a-t-il ajouté, estimant que le parcours des récipiendaires de cette structure l'enseignement "l'a démontré".
"Cet institut est un projet total, parce qu'alliant enseignement islamique, enseignement moderne et formation professionnelle. Et il complète la politique du président de la République en matière d'éducation", a-t-il relevé.
Le représentant de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal, Mbaye Sarr, a lui souligné que la compétitivité des entreprises du Sénégal dépend d'"une main d'œuvre de qualité".
"Le Sénégal dans beaucoup de domaines manque d'ouvriers qualifiés de niveaux 3 et 4, qui concernent les récipiendaires d'aujourd'hui. Les chefs d'entreprise sont conscients que leur apport à la formation professionnelle renforce leur compétitivité", a noté M. Sarr. Il a par ailleurs annoncé que le patronat travaille à mettre en place une fondation pour appuyer la formation professionnelle.
Les récipiendaires de l'institut Al Azhar recevaient leur brevet de technicien en électromécanique et en informatique.
Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a signalé, pour s'en féliciter, que l'institut Al Azhar est une institution qui "applique actuellement les recommandations fortes des concertations nationales sur l'avenir de l'enseignement supérieur" (CNAES).
"L'enseignement professionnel, l'intégration de certaines langues dans le système sont parmi les recommandations des CNAES, auxquelles l'institut Al Azhar a participé. Et ces recommandations sont actuellement appliquées par l'institut (dans ses programmes)", a-t-il dit.
Le ministre de l'Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, a pour sa part déclaré que "l'institut Al Azhar est un symbole de la maitrise de la modernité". Il est "la preuve que les différences entre l'enseignement islamique traditionnel et l'enseignement moderne ne sont plus", a-t-il ajouté, estimant que le parcours des récipiendaires de cette structure l'enseignement "l'a démontré".
"Cet institut est un projet total, parce qu'alliant enseignement islamique, enseignement moderne et formation professionnelle. Et il complète la politique du président de la République en matière d'éducation", a-t-il relevé.
Le représentant de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal, Mbaye Sarr, a lui souligné que la compétitivité des entreprises du Sénégal dépend d'"une main d'œuvre de qualité".
"Le Sénégal dans beaucoup de domaines manque d'ouvriers qualifiés de niveaux 3 et 4, qui concernent les récipiendaires d'aujourd'hui. Les chefs d'entreprise sont conscients que leur apport à la formation professionnelle renforce leur compétitivité", a noté M. Sarr. Il a par ailleurs annoncé que le patronat travaille à mettre en place une fondation pour appuyer la formation professionnelle.
Les récipiendaires de l'institut Al Azhar recevaient leur brevet de technicien en électromécanique et en informatique.