le ministre a fait cette précision à l’ouverture de cette activité de trois jours (30, 31 mai et 1 juin 2014), qui est consacrée au rôle du Centre dans le nouvel environnement de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Pour l’ancien Recteur de Saint-Louis, « il y a toujours eu une généralisation du bénéfice des allocations d’études, notamment une bourse ou une aide ». Et de poursuivre : « cette politique va se poursuivre. Tout étudiant qui n’a pas de bourses et qui demande une aide l’aura ». Une déclaration qui lève tout soupçon du gouvernement de procéder à la suppression des bourses. En revanche, toujours est-il que le Plan de développement de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (Pders) indique clairement qu’à l’horizon de 2022 le pourcentage des étudiants bénéficiaires d’une bourse ou d’une aide sera de l’ordre de 60% des effectifs et des étudiants bénéficiaires des œuvres universitaires sera de 50%.
L’Etat, souligne le document, ne pourra plus continuer à attribuer une bourse ou une aide à tout étudiant accédant à l’Enseignement supérieur public. Il ne pourra non plus assurer l’accès universel des étudiants au bénéfice des œuvres universitaires.
Une nouvelle politique que le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) qualifie de privatisation graduelle de l’Enseignement supérieur.
Sud Quotidien
Pour l’ancien Recteur de Saint-Louis, « il y a toujours eu une généralisation du bénéfice des allocations d’études, notamment une bourse ou une aide ». Et de poursuivre : « cette politique va se poursuivre. Tout étudiant qui n’a pas de bourses et qui demande une aide l’aura ». Une déclaration qui lève tout soupçon du gouvernement de procéder à la suppression des bourses. En revanche, toujours est-il que le Plan de développement de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (Pders) indique clairement qu’à l’horizon de 2022 le pourcentage des étudiants bénéficiaires d’une bourse ou d’une aide sera de l’ordre de 60% des effectifs et des étudiants bénéficiaires des œuvres universitaires sera de 50%.
L’Etat, souligne le document, ne pourra plus continuer à attribuer une bourse ou une aide à tout étudiant accédant à l’Enseignement supérieur public. Il ne pourra non plus assurer l’accès universel des étudiants au bénéfice des œuvres universitaires.
Une nouvelle politique que le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) qualifie de privatisation graduelle de l’Enseignement supérieur.
Sud Quotidien