De nombreux fidèles musulmans ont pris part dans la soirée samedi à la mosquée Ihsane du quartier Sud de Saint-Louis (nord) à l’ouverture du Burde, séances de prière, de lecture de poèmes et de chants à la gloire du prophète Mohamed (PSL) sous la direction de l’imam Mouhamedou Abdoulaye Cisse, fils et khalife de la famille de Serigne Madior Cisse, a constaté l’APS.
Ces séances de prière et de chants précédent chaque année la célébration de la douzième nuit du Maouloud, appelé Gamou au Sénégal, et qui commémore la naissance du prophète de l’Islam.
A Saint-Louis, Serigne Madior Cisse, Mouhadam (érudit dans la confrérie Tidiane), compagnon de Serigne Babacar Sy, fils aîné d’El Hadji Malick Sy, chantre de cette confrérie au Sénégal, a instauré la célébration du Gamou dans l’ancienne capitale du Sénégal à partir de 1950.
L’institution du Burde est une des traditions que la Umma islamique doit à Seydi El Hadji Malick Sy pour célébrer la naissance du prophète Mohamed (PSL).
’’Cette date constitue un puissant symbole de la manifestation de la miséricorde et de la grâce divines, correspond à la délivrance de l’humanité de l’injustice, de l’obscurantisme et de la déviance sous toutes leurs formes ", a souligné l’imam Mouhamedou Abdoulaye Cisse lors des causeries.
’’Le Gamou est le jour de la naissance de la meilleure des créatures de Dieu, le sceau des prophètes, qui réunit en lui tous superlatifs en matière de vertu et de pitié, de justice et de bonté. Donc un des plus grands jours ou le plus grand jour du seigneur ", a-t-il fait valoir.
Ainsi, selon lui, au delà de la poésie et des chants, le Bourde est un acte de foi et d’adoration et constitue une réponse à Allah qui en fait mention dans la sourate +les Coalisés +" Ô vous qui croyez, priez sur lui et adressez lui vos salutations ", a rappelé le guide religieux.
APS
Ces séances de prière et de chants précédent chaque année la célébration de la douzième nuit du Maouloud, appelé Gamou au Sénégal, et qui commémore la naissance du prophète de l’Islam.
A Saint-Louis, Serigne Madior Cisse, Mouhadam (érudit dans la confrérie Tidiane), compagnon de Serigne Babacar Sy, fils aîné d’El Hadji Malick Sy, chantre de cette confrérie au Sénégal, a instauré la célébration du Gamou dans l’ancienne capitale du Sénégal à partir de 1950.
L’institution du Burde est une des traditions que la Umma islamique doit à Seydi El Hadji Malick Sy pour célébrer la naissance du prophète Mohamed (PSL).
’’Cette date constitue un puissant symbole de la manifestation de la miséricorde et de la grâce divines, correspond à la délivrance de l’humanité de l’injustice, de l’obscurantisme et de la déviance sous toutes leurs formes ", a souligné l’imam Mouhamedou Abdoulaye Cisse lors des causeries.
’’Le Gamou est le jour de la naissance de la meilleure des créatures de Dieu, le sceau des prophètes, qui réunit en lui tous superlatifs en matière de vertu et de pitié, de justice et de bonté. Donc un des plus grands jours ou le plus grand jour du seigneur ", a-t-il fait valoir.
Ainsi, selon lui, au delà de la poésie et des chants, le Bourde est un acte de foi et d’adoration et constitue une réponse à Allah qui en fait mention dans la sourate +les Coalisés +" Ô vous qui croyez, priez sur lui et adressez lui vos salutations ", a rappelé le guide religieux.
APS