Le Préfet de Dakar considère comme un délit, un droit constitutionnel et les engagements internationaux du Sénégal en matière de libertés de rassemblement pacifique, en interdisant la manifestation de Ñoo lank contre la hausse du prix de l’électricité et pour la libération de Guy Marius Sagna et Cie. En évoquant les risques « d’infiltrations par des individus mal intentionnés », le Préfet Alioune Sambe invente nouvelle infraction : un délit imaginaire, déclare Moustapha DIAKHATÉ.
" Qu’à cela ne tienne. Aucun client ne doit accepter de payer la facture de la mal gouvernance de SENELEC avec :
➢ 128 millions francs de CFA de don aux chefs religieux,
➢ 491millions francs de CFA pour les cérémonies religieuses,
➢ 4 milliards francs de CFA de social,
➢ le non recouvrement des pertes non techniques évaluées à plusieurs dizaines de milliards francs de CFA,
➢ le recrutement massif de nouveaux agents en 3 ans,
➢ le doublement de la masse salariale en un temps record", a-t-il ajouté.
" En tout état de cause, Senelec et le Préfet Alioune Badara Sambe restent les seules menaces de troubles à l’ordre public, pas ÑOO BAÑ ni ÑOO LANK. Les seules réponses que le gouvernement doit apporter à la colère sociale c’est :
➢ l’annulation de la hausse du prix de l’électricité,
➢ la libération de Guy Marius Sagna et Cie
➢ l’audit du gouffre à milliards qu’est devenue la Senelec", signale l'ancien ministre-conseiller.
Moustapha Diakhaté, ne digère mal les actes de brutalité subis par les journalistes lors de la manifestation du Collectif Ñoo lank, ce vendredi. Selon lui, "ces faits sont d’une extrême gravité et ternissent dangereusement l’image de la démocratie sénégalaise". C'est pourquoi, l'ancien député pense que "le ministre de l’Intérieur doit diligenter une sérieuse enquête pour identifier et punir les auteurs de ces actes". "Par ailleurs, note Diakhaté, le Synpics doit, en ce qui le concerne, ester en justice contre les policiers fautifs"
" Qu’à cela ne tienne. Aucun client ne doit accepter de payer la facture de la mal gouvernance de SENELEC avec :
➢ 128 millions francs de CFA de don aux chefs religieux,
➢ 491millions francs de CFA pour les cérémonies religieuses,
➢ 4 milliards francs de CFA de social,
➢ le non recouvrement des pertes non techniques évaluées à plusieurs dizaines de milliards francs de CFA,
➢ le recrutement massif de nouveaux agents en 3 ans,
➢ le doublement de la masse salariale en un temps record", a-t-il ajouté.
" En tout état de cause, Senelec et le Préfet Alioune Badara Sambe restent les seules menaces de troubles à l’ordre public, pas ÑOO BAÑ ni ÑOO LANK. Les seules réponses que le gouvernement doit apporter à la colère sociale c’est :
➢ l’annulation de la hausse du prix de l’électricité,
➢ la libération de Guy Marius Sagna et Cie
➢ l’audit du gouffre à milliards qu’est devenue la Senelec", signale l'ancien ministre-conseiller.
Moustapha Diakhaté, ne digère mal les actes de brutalité subis par les journalistes lors de la manifestation du Collectif Ñoo lank, ce vendredi. Selon lui, "ces faits sont d’une extrême gravité et ternissent dangereusement l’image de la démocratie sénégalaise". C'est pourquoi, l'ancien député pense que "le ministre de l’Intérieur doit diligenter une sérieuse enquête pour identifier et punir les auteurs de ces actes". "Par ailleurs, note Diakhaté, le Synpics doit, en ce qui le concerne, ester en justice contre les policiers fautifs"