ACCUEIL
Les deux hommes se sont retrouvés hier pour dénoncer l’enlisement démocratique et les dérives en cascades du pouvoir en place.
L’Etat détient des habiletés exceptionnelles pour détourner le processus démocratique. Ainsi, tous les indicateurs de démocratie sont au rouge : droit à l’information, sécurité, droit de participation… C’est avéré, l’Etat contrôle désormais tout le système d’information de notre pays en s’assurant la maîtrise des flux sur les réseaux sociaux et en asservissant les organes de presse aussi bien publics que privés par la nomination de militants rampants à des postes stratégiques. Dans le domaine de la sécurité le constat n’est pas plus rassurant ; en faisant l’acquisition de 65 engins blindés anti-émeutes destinés à la gestion des grandes foules, de toute évidence, notre cher Président n’a pas pour objectif de nous protéger d’un danger extérieur mais d’anticiper des mouvements de populations qui souhaiteraient faire valoir leurs droits à s’opposer et à disposer d’une possibilité égale à s’exprimer sur la manière dont elles sont gouvernées. Le droit de participation est également bafoué par la rétention scandaleuse des cartes d’identité nationales et celle du fichier électoral. Tout cela constitue une nébuleuse opportune pour troubler la transparence du processus électoral !
Pour lever l’omerta sur cet état de faits, il faut un grand courage politique ! Et, la rencontre entre Mame Adama Gueye et Moustapha Guirassy pour poser les bases d’un dispositif de sécurisation du processus électoral ne doit rien au hasard.
Mame Adama Gueye, ancien bâtonnier de l’ordre des avocats du Sénégal est un expert de la constitution et, de longue date, un fervent défenseur, de l’éthique et de la transparence. Moustapha Guirassy, chef de file du secteur de l’éducation en Afrique incarne la rupture réfléchie et responsable et œuvre pour un société inclusive adossée à des valeurs d’égalité et de responsabilité. Le parcours de ces deux visionnaires s’est d’ailleurs croisé lors du colloque « Ethique des affaires et affaires de l’éthique en Afrique » organisé par l’Institut Africain de Management en 2010, présidé par Moustapha Guirassy et dont Maitre Mame Adama Gueye fut un contributeur expert au sein du comité scientifique.
Parce qu’ils savent que la démocratie se construit de l’intérieur des sociétés, nos deux serviteurs de la nation se sont engagés pour mettre en place un dispositif de sécurisation du processus électoral, une plateforme constituée d’experts dans le domaine juridique, de la qualité, de la communication pour prendre en compte la gestion opérationnelle des risques « avérés », une action commune pour que le peuple soit le grand gagnant de ces élections.
Les deux hommes se sont engagés pour rencontrer d’autres acteurs de l’opposition et de la société civile en vue de renforcer la plate-forme.
Mamadou Gueye Pôle Communication de SET
L’Etat détient des habiletés exceptionnelles pour détourner le processus démocratique. Ainsi, tous les indicateurs de démocratie sont au rouge : droit à l’information, sécurité, droit de participation… C’est avéré, l’Etat contrôle désormais tout le système d’information de notre pays en s’assurant la maîtrise des flux sur les réseaux sociaux et en asservissant les organes de presse aussi bien publics que privés par la nomination de militants rampants à des postes stratégiques. Dans le domaine de la sécurité le constat n’est pas plus rassurant ; en faisant l’acquisition de 65 engins blindés anti-émeutes destinés à la gestion des grandes foules, de toute évidence, notre cher Président n’a pas pour objectif de nous protéger d’un danger extérieur mais d’anticiper des mouvements de populations qui souhaiteraient faire valoir leurs droits à s’opposer et à disposer d’une possibilité égale à s’exprimer sur la manière dont elles sont gouvernées. Le droit de participation est également bafoué par la rétention scandaleuse des cartes d’identité nationales et celle du fichier électoral. Tout cela constitue une nébuleuse opportune pour troubler la transparence du processus électoral !
Pour lever l’omerta sur cet état de faits, il faut un grand courage politique ! Et, la rencontre entre Mame Adama Gueye et Moustapha Guirassy pour poser les bases d’un dispositif de sécurisation du processus électoral ne doit rien au hasard.
Mame Adama Gueye, ancien bâtonnier de l’ordre des avocats du Sénégal est un expert de la constitution et, de longue date, un fervent défenseur, de l’éthique et de la transparence. Moustapha Guirassy, chef de file du secteur de l’éducation en Afrique incarne la rupture réfléchie et responsable et œuvre pour un société inclusive adossée à des valeurs d’égalité et de responsabilité. Le parcours de ces deux visionnaires s’est d’ailleurs croisé lors du colloque « Ethique des affaires et affaires de l’éthique en Afrique » organisé par l’Institut Africain de Management en 2010, présidé par Moustapha Guirassy et dont Maitre Mame Adama Gueye fut un contributeur expert au sein du comité scientifique.
Parce qu’ils savent que la démocratie se construit de l’intérieur des sociétés, nos deux serviteurs de la nation se sont engagés pour mettre en place un dispositif de sécurisation du processus électoral, une plateforme constituée d’experts dans le domaine juridique, de la qualité, de la communication pour prendre en compte la gestion opérationnelle des risques « avérés », une action commune pour que le peuple soit le grand gagnant de ces élections.
Les deux hommes se sont engagés pour rencontrer d’autres acteurs de l’opposition et de la société civile en vue de renforcer la plate-forme.
Mamadou Gueye Pôle Communication de SET
