"Vous avez dit ces derniers jours beaucoup de bêtises sur soi-disant des salaires, des avantages. Tout cela était faux", a lancé le chef de l'Etat à des journalistes de BFMTV et CNEWS, seuls présents sur cette étape qui n'était pas prévue à son agenda.
"Je suis fier de l'avoir embauché"
"J'ai vu ces derniers jours beaucoup de gens perdre la raison avec des réactions disproportionnées et avec une violence....", a regretté M. Macron fustigeant le recherche d'"un procès politique sur la base d'une affaire qui est triste mais qui est l'affaire d'un homme".
"Je suis fier de l'avoir embauché à l'Elysée", a souligné le président de la République "parce que c'était quelqu'un qui était dévoué et qui avait un parcours différent (...)".
Le chef de l'Etat a estimé que la sanction infligée à M. Benalla pour avoir malmené et frappé deux personnes en marge de la manifestation du 1er-mai était "proportionnée". "Sinon je leur aurais demandé d'en prendre une autre", a ajouté M.Macron en référence aux responsables de son cabinet qui lui ont proposé la sanction.
"Une faute réelle, grave"
M. Benalla avait été suspendu pendant 15 jours début mai. Cette suspension, qui a été rémunérée contrairement aux déclarations initiales de la présidence, fera l'objet d'une retenue sur les droits à congés lors de son licenciement, a précisé Patrick Strzoda, directeur de cabinet de M. Macron.
Alexandre Benalla "a fait une faute réelle, grave, que j'ai vécu comme une trahison. Il a été sanctionné pour cette faute. Il a ensuite repris son travail conformément à cette sanction. Quand il a fait une deuxième faute il a été sanctionné plus durement, par un licenciement", a rappelé le chef de l'Etat.
7SUR7.BE
"Je suis fier de l'avoir embauché"
"J'ai vu ces derniers jours beaucoup de gens perdre la raison avec des réactions disproportionnées et avec une violence....", a regretté M. Macron fustigeant le recherche d'"un procès politique sur la base d'une affaire qui est triste mais qui est l'affaire d'un homme".
"Je suis fier de l'avoir embauché à l'Elysée", a souligné le président de la République "parce que c'était quelqu'un qui était dévoué et qui avait un parcours différent (...)".
Le chef de l'Etat a estimé que la sanction infligée à M. Benalla pour avoir malmené et frappé deux personnes en marge de la manifestation du 1er-mai était "proportionnée". "Sinon je leur aurais demandé d'en prendre une autre", a ajouté M.Macron en référence aux responsables de son cabinet qui lui ont proposé la sanction.
"Une faute réelle, grave"
M. Benalla avait été suspendu pendant 15 jours début mai. Cette suspension, qui a été rémunérée contrairement aux déclarations initiales de la présidence, fera l'objet d'une retenue sur les droits à congés lors de son licenciement, a précisé Patrick Strzoda, directeur de cabinet de M. Macron.
Alexandre Benalla "a fait une faute réelle, grave, que j'ai vécu comme une trahison. Il a été sanctionné pour cette faute. Il a ensuite repris son travail conformément à cette sanction. Quand il a fait une deuxième faute il a été sanctionné plus durement, par un licenciement", a rappelé le chef de l'Etat.
7SUR7.BE