Le Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) salue le discours du président de la République qui lors de son adresse à la Nation du 3 Avril 2023, a réaffirmé son ouverture au dialogue et à la concertation avec toutes les forces vives de Nation. Ces organisations dont l’ONG 3D- Reseau Siggil Jigen et autres invitent Macky Sall à prendre des initiatives pour apaiser le climat politique.
Le COSCE rappelle aux acteurs politiques que le succès d'un processus est conditionné par le caractère équitable du procédé ayant permis de définir les règles du jeu électoral. Un dialogue politique inclusif à tous les niveaux est alors « essentiel pour la stabilité des processus électoraux ».
A ce titre, le COSCE fidèle à sa mission de régulateur du « jeu politique », saisit cette opportunité pour présenter aux acteurs politiques les recommandations prioritaires formulées en prévision du scrutin présidentiel de février 2024, lesquelles pourraient éventuellement servir de base à la concertation envisagée.
Il y a la prise d'initiatives par le chef de l'Etat en vue d'un apaisement du climat politique, la modification des articles L.29 et 1.30 du code électoral de manière à abroger la déchéance électorale automatique. Et assurer la traçabilité des cartes d'électeur de manière à localiser celles qui ne sont pas distribuées.
Le collectif appelle le gouvernement à procéder au découplage de la carte nationale d'identité (CNI) et de la carte d'électeur, envisager la possibilité de voter sur présentation de la CNI tout en facilitant l'accès aux informations électorales:
Ces organisations ont fait une proposition sur le système de parrainage. Il demande de réformer le système du parrainage électoral, notamment par les mesures suivantes : « Instauration du parrainage optionnel ou alternatif par des élus et des électeurs. Détermination du pourcentage de parrains sur la base du nombre de votants à la dernière élection présidentielle, instauration d'un système d'enregistrement et de contrôle simultané des parrainages ».
Elles demandent la mise en place une commission de réception, d'enregistrement et de contrôle des parrainages qui délivre un quitus et possibilité d'ouvrir un contentieux auprès du Conseil Constitutionnel. Et garantir l'accès des partis politiques au fichier électoral par la prise du décret prévu à l'article L.49 du Code Electoral.
Et enfin, mettre en œuvre les points de consensus actés par la commission du dialogue et les pertinentes recommandations des experts, de la CENA, et celles formulées par les MOE et veiller au renouvellement du mandat des membres de la CENA.
Le COSCE rappelle aux acteurs politiques que le succès d'un processus est conditionné par le caractère équitable du procédé ayant permis de définir les règles du jeu électoral. Un dialogue politique inclusif à tous les niveaux est alors « essentiel pour la stabilité des processus électoraux ».
A ce titre, le COSCE fidèle à sa mission de régulateur du « jeu politique », saisit cette opportunité pour présenter aux acteurs politiques les recommandations prioritaires formulées en prévision du scrutin présidentiel de février 2024, lesquelles pourraient éventuellement servir de base à la concertation envisagée.
Il y a la prise d'initiatives par le chef de l'Etat en vue d'un apaisement du climat politique, la modification des articles L.29 et 1.30 du code électoral de manière à abroger la déchéance électorale automatique. Et assurer la traçabilité des cartes d'électeur de manière à localiser celles qui ne sont pas distribuées.
Le collectif appelle le gouvernement à procéder au découplage de la carte nationale d'identité (CNI) et de la carte d'électeur, envisager la possibilité de voter sur présentation de la CNI tout en facilitant l'accès aux informations électorales:
Ces organisations ont fait une proposition sur le système de parrainage. Il demande de réformer le système du parrainage électoral, notamment par les mesures suivantes : « Instauration du parrainage optionnel ou alternatif par des élus et des électeurs. Détermination du pourcentage de parrains sur la base du nombre de votants à la dernière élection présidentielle, instauration d'un système d'enregistrement et de contrôle simultané des parrainages ».
Elles demandent la mise en place une commission de réception, d'enregistrement et de contrôle des parrainages qui délivre un quitus et possibilité d'ouvrir un contentieux auprès du Conseil Constitutionnel. Et garantir l'accès des partis politiques au fichier électoral par la prise du décret prévu à l'article L.49 du Code Electoral.
Et enfin, mettre en œuvre les points de consensus actés par la commission du dialogue et les pertinentes recommandations des experts, de la CENA, et celles formulées par les MOE et veiller au renouvellement du mandat des membres de la CENA.