"Nous sommes ici à Diamniadio, animés par une volonté inébranlable de changer de paradigme. Une volonté de vivre notre temps, une volonté d’épouser la modernité, une volonté de regarder l’avenir avec confiance et ambition", a expliqué Macky Sall pour justifier la réalisation du TER.
"Voilà la vision qui sous-tend le projet de Train Express Régional. Il s’agit de réaliser un chemin de fer à traction électrique, moderne, rapide et à écartement standard, le premier en Afrique de l’Ouest", a expliqué le chef de l’Etat.
Plus qu’une "évolution", le TER est "une révolution technologique" que le Sénégal est en train d’entamer, a-t-il dit.
"Nous constatons que l’Afrique subsaharienne est en train de sauter une génération technologique. Le Sénégal est fier d’être dans le peloton de tête de ce mouvement, celui des joints-ventures, où des industriels français, turcs, chinois, sénégalais et d’autres pays coopèrent ensemble", a ajouté Macky Sall.
Il a souligné par ailleurs que le TER répond à une "nécessité impérative de désengorger Dakar et ses environs".
Des sociétés françaises, sénégalaises, turques et chinoises sont chargées de construire le Train Express Régional.
La durée des travaux est estimée à 26 mois, en ce qui concerne la première partie du projet (Dakar-Diamniadio), soit 36 kilomètres, la seconde partie Diamniadio-AIBD (19 kilomètres) devant nécessiter 15 mois de travaux, selon Yann Rolland, le président-directeur général d’Engie Ineo, l’entreprise française chargée de piloter la conception et la réalisation des systèmes ferroviaires du Train Express Régional.
Le TER devrait relier Dakar au nouvel aéroport international Blaise-Diagne en moins de 50 minutes.
Les études et travaux viennent de démarrer pour une mise en service de la première partie du parcours prévue fin 2018, selon l’Agence pour la promotion de l’investissement et des grands travaux (APIX).
Elle précise que le projet s’inscrit dans le cadre du Plan Sénégal émergent.
Le projet de TER vise à "désengorger la ville de Dakar en apportant une réponse aux problèmes que connaît actuellement la région de Dakar, avec un centre-ville hypertrophié et des banlieues dortoirs".
Le type de transport du TER Dakar-Diamniadio- AIBD sera "uniquement sur rails", indique l’APIX, ajoutant que ce train va desservir 14 gares et aura une vitesse de pointe de 160 km par heure.
Le TER, d’une capacité de 500 places, pourra transporter jusqu’à 115 000 passagers par jour, selon la même source.
Près de 10 000 personnes travailleront sur le projet, en emplois directs et indirects.
LERAL
"Voilà la vision qui sous-tend le projet de Train Express Régional. Il s’agit de réaliser un chemin de fer à traction électrique, moderne, rapide et à écartement standard, le premier en Afrique de l’Ouest", a expliqué le chef de l’Etat.
Plus qu’une "évolution", le TER est "une révolution technologique" que le Sénégal est en train d’entamer, a-t-il dit.
"Nous constatons que l’Afrique subsaharienne est en train de sauter une génération technologique. Le Sénégal est fier d’être dans le peloton de tête de ce mouvement, celui des joints-ventures, où des industriels français, turcs, chinois, sénégalais et d’autres pays coopèrent ensemble", a ajouté Macky Sall.
Il a souligné par ailleurs que le TER répond à une "nécessité impérative de désengorger Dakar et ses environs".
Des sociétés françaises, sénégalaises, turques et chinoises sont chargées de construire le Train Express Régional.
La durée des travaux est estimée à 26 mois, en ce qui concerne la première partie du projet (Dakar-Diamniadio), soit 36 kilomètres, la seconde partie Diamniadio-AIBD (19 kilomètres) devant nécessiter 15 mois de travaux, selon Yann Rolland, le président-directeur général d’Engie Ineo, l’entreprise française chargée de piloter la conception et la réalisation des systèmes ferroviaires du Train Express Régional.
Le TER devrait relier Dakar au nouvel aéroport international Blaise-Diagne en moins de 50 minutes.
Les études et travaux viennent de démarrer pour une mise en service de la première partie du parcours prévue fin 2018, selon l’Agence pour la promotion de l’investissement et des grands travaux (APIX).
Elle précise que le projet s’inscrit dans le cadre du Plan Sénégal émergent.
Le projet de TER vise à "désengorger la ville de Dakar en apportant une réponse aux problèmes que connaît actuellement la région de Dakar, avec un centre-ville hypertrophié et des banlieues dortoirs".
Le type de transport du TER Dakar-Diamniadio- AIBD sera "uniquement sur rails", indique l’APIX, ajoutant que ce train va desservir 14 gares et aura une vitesse de pointe de 160 km par heure.
Le TER, d’une capacité de 500 places, pourra transporter jusqu’à 115 000 passagers par jour, selon la même source.
Près de 10 000 personnes travailleront sur le projet, en emplois directs et indirects.
LERAL