Pour le dialogue qu'il a annoncé fixer au lundi 26 février prochain, Macky Sall promet de libérer les candidats actuellement en détention. Mais sa mesure de clémence ne va pas seulement se limiter aux candidats, mais également aux leaders politiques incarcérés.
"J'ai toujours dit que j'appelle à un dialogue inclusif. Et je suis convaincu que si nous voulons que notre pays poursuive sa marche harmonieuse, il faut se réconcilier quels que soient les délits et les crimes qui ont poussé les uns et les autres devant la justice. Dans cette perspective, il ne faut écarter aucune personne et dès lors qu'on peut arriver à des dépassements de faits, toute personne pourrait bénéficier de cette clémence", a déclaré Macky Sall.
Macky Sall a laissé entendre que le leader de l'ex-Pastef pourrait bénéficier d'une liberté provisoire. "Je n'ai aucune objection, je regarde le pays, je ne regarde pas une personne. Mon objectif est d'être un chef de l'Etat (...) une liberté provisoire pour Ousmane Sonko et Diomaye ? Oui c'est possible, ça va dépendre de leurs avocats, de la justice...", a ajouté le chef de l'Etat.
"J'ai toujours dit que j'appelle à un dialogue inclusif. Et je suis convaincu que si nous voulons que notre pays poursuive sa marche harmonieuse, il faut se réconcilier quels que soient les délits et les crimes qui ont poussé les uns et les autres devant la justice. Dans cette perspective, il ne faut écarter aucune personne et dès lors qu'on peut arriver à des dépassements de faits, toute personne pourrait bénéficier de cette clémence", a déclaré Macky Sall.
Macky Sall a laissé entendre que le leader de l'ex-Pastef pourrait bénéficier d'une liberté provisoire. "Je n'ai aucune objection, je regarde le pays, je ne regarde pas une personne. Mon objectif est d'être un chef de l'Etat (...) une liberté provisoire pour Ousmane Sonko et Diomaye ? Oui c'est possible, ça va dépendre de leurs avocats, de la justice...", a ajouté le chef de l'Etat.