«Le drame de cette opposition est que, lorsqu’ils étaient au Pouvoir, ses tenants ne me connaissaient pas assez. Aujourd’hui, ils ne me connaissent pas toujours. Je suis un géologue de formation : je préfère observer puis agir, plutôt que de bavarder. Njitu-réew dou beuri wakh, mais je suis fondamentalement démocrate. » C’est ainsi que s’est exprimé le chef de l’État et leader de l’Alliance pour la République (Apr) le 10 avril dernier lors de la réunion du secrétariat national de son parti.
Cette vérité dite, Macky Sall ajoute : « C’est pour cela que je suis ouvert à toutes les opinions et, tout président de la République doit être ouvert à toutes les opinions dont la diversité constitue notre richesse et la force de notre démocratie. Mais, après avoir écouté, je suis le seul à décider...».
Manifestement, il faisait allusion à la polémique provoquée par le projet de loi sur le parrainage. Preuve de son ouverture à des discussions, il a reçu, à la demande du président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, des membres de la société civile.
Même si l’Etat ne reculera pas, puisque le projet de loi passe en plénière ce 19 avril. Dans le communiqué officiel sanctionnant la rencontre, le Secrétariat exécutif national de l’Apr considérait que l’élargissement de cette formalité, qui existe déjà dans la Constitution en vigueur au Sénégal, à tous les candidats, « renforce la modernisation de notre modèle démocratique ».
Le SEN de l’APR « exhortait ainsi les responsables et militants du Parti à se mobiliser fortement pour assurer un portage victorieux de ce Projet auprès des populations pour leur donner la bonne information et mettre en échec les entreprises de désinformation et de manipulation d’une opposition désemparée et aux abois dont l’objectif connu est d’installer le pays, notre cher Sénégal, dans le chaos et l’instabilité ».
DAKARACATU
Cette vérité dite, Macky Sall ajoute : « C’est pour cela que je suis ouvert à toutes les opinions et, tout président de la République doit être ouvert à toutes les opinions dont la diversité constitue notre richesse et la force de notre démocratie. Mais, après avoir écouté, je suis le seul à décider...».
Manifestement, il faisait allusion à la polémique provoquée par le projet de loi sur le parrainage. Preuve de son ouverture à des discussions, il a reçu, à la demande du président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, des membres de la société civile.
Même si l’Etat ne reculera pas, puisque le projet de loi passe en plénière ce 19 avril. Dans le communiqué officiel sanctionnant la rencontre, le Secrétariat exécutif national de l’Apr considérait que l’élargissement de cette formalité, qui existe déjà dans la Constitution en vigueur au Sénégal, à tous les candidats, « renforce la modernisation de notre modèle démocratique ».
Le SEN de l’APR « exhortait ainsi les responsables et militants du Parti à se mobiliser fortement pour assurer un portage victorieux de ce Projet auprès des populations pour leur donner la bonne information et mettre en échec les entreprises de désinformation et de manipulation d’une opposition désemparée et aux abois dont l’objectif connu est d’installer le pays, notre cher Sénégal, dans le chaos et l’instabilité ».
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