Le Syndicat des travailleurs des établissements scolaires et universitaires (STESU) est favorable au projet de loi sur la gouvernance des universités, a déclaré, mercredi à Saint-Louis, son secrétaire général Birima Ndiaye pour qui, cette loi consacre ''l’ouverture des universités''.
‘’Nous sommes favorables à cette loi sur la gouvernance des universités. Avec cette loi nous aurons maintenant des représentants au conseil d’administration alors que nous n’en avions qu’un au niveau du conseil des universités’’, a dit M. Ndiaye, au cours d'un point de presse.
‘’Cette loi va permettre une prise en charge correcte des besoins des acteurs de l’université. Tout le temps vous entendez des revendications liées à des indemnités, des heures supplémentaires'', a-t-il affirmé.
Selon lui, ''l’Etat ne peut pas tout faire et les sociétés qui vont prendre part à ce conseil d’administration vont l’y aider’’
Cette loi votée récemment à l'Assemblée nationale est à l'origine de la colère du Syndicat autonome de l'enseignement supérieur (SAES) qui y voit une perte d'autonomie des universités au profit du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Le SAES observe, depuis lundi, une grève de 72 heures pour exiger la retrait de cette loi. Il a organisé, mercredi à Dakar, une marche de protestation.
APS
‘’Nous sommes favorables à cette loi sur la gouvernance des universités. Avec cette loi nous aurons maintenant des représentants au conseil d’administration alors que nous n’en avions qu’un au niveau du conseil des universités’’, a dit M. Ndiaye, au cours d'un point de presse.
‘’Cette loi va permettre une prise en charge correcte des besoins des acteurs de l’université. Tout le temps vous entendez des revendications liées à des indemnités, des heures supplémentaires'', a-t-il affirmé.
Selon lui, ''l’Etat ne peut pas tout faire et les sociétés qui vont prendre part à ce conseil d’administration vont l’y aider’’
Cette loi votée récemment à l'Assemblée nationale est à l'origine de la colère du Syndicat autonome de l'enseignement supérieur (SAES) qui y voit une perte d'autonomie des universités au profit du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Le SAES observe, depuis lundi, une grève de 72 heures pour exiger la retrait de cette loi. Il a organisé, mercredi à Dakar, une marche de protestation.
APS