L'ancienne présidente des Amazones de Me Wade et ex chef de cabinet du ministre d'Etat Awa Ndiaye, Diégui Diop, l'ancien président de la Sentinelle bleu, Ousmane Wade, Aissatou Diakhaté, responsable du parti démocratique sénégalais à Saint-Louis, et d'autres jeunes cadres dudit parti, ont animé hier, une conférence de presse pour fustiger la « gestion municipale » de la vieille ville, « grenier intellectuel et politique du Sénégal », et dénoncer le fonctionnement de leur parti au niveau local.
Selon les initiateurs du mouvement, Les AS de la République, essentiellement constitués de responsables du parti démocratique sénégalais (Pds), cette structure regroupe des jeunes leaders expérimentés dans la gestion des affaires de la cité.
Tirant des leçons des élections locales de 2009 pendant lesquelles, des « tendances crypto-personnelles » auraient fait perdre le PDS, ces « rebelles du parti de Wade», n'ont pas manqué de dénoncer ceux qu'ils ont considéré comme une «indiscipline » notée au sein de leur formation politique qui, selon Diégui Diop et compagnie, « s'est accentuée depuis l'installation d'un coordonnateur départemental qui, sans méthode ni organisation privilégie, l'unilatéralité. »
Dans ce même ordre d'idées, ces jeunes libéraux qui appellent à « une révolte de la nouvelle génération », ont également fustigé le transfert de certains responsables de leurs lieux de vote, le mutisme des de grands leaders du parti et une division persistante qui, selon eux, ont fini de ternir l'image du parti bleu.
Face aux journalistes, les fondateurs du mouvement les « Acteurs Sûrs de la République», ont vilipendé le coordonnateur départemental du PDS. « Nous ne comptons pas sur Ameth Fall Braya » ont-ils fait savoir avant d'indiquer que le responsable libéral « a mis en place des comités électoraux dans les quartiers, sans pour autant nous solliciter. »
A les en croire, le profil du candidat maire du mouvement les AS pour la République, en vue des prochaines élections locales, va être décliné dans les jours à venir, qu'il soit du parti démocratique sénégalais (Pds) ou de la mouvance présidentielle.
Pour trouver le chemin de l'émergence, l'ex chef de cabinet du ministre d'Etat Awa Ndiaye, Diégui Diop, Ousmane Wade et les AS de la République comptent « constituer une alternative crédible, jouant d'abord au-delà des clivages partisans et des chapelles politiques, le rôle de la défunte convention des Saint-Louisiens et ensuite de sentinelle de la démocratie et de la bonne gouvernance tant locale que nationale. » Pour ce faire, ils déclarent tendre la main aux dignes fils de Saint-Louis, pour rebâtir leur ville qui, aujourd'hui, « a perdu son caractère luisant. »
Ces « militants originels du Pds » ont enfin estimé que des questions essentielles comme la réforme des institutions et l'acte III de la décentralisation, doivent constituer des moments forts de larges consensus de la part des acteurs de la scène politique et de la société civile.
Ndarinfo.com
Selon les initiateurs du mouvement, Les AS de la République, essentiellement constitués de responsables du parti démocratique sénégalais (Pds), cette structure regroupe des jeunes leaders expérimentés dans la gestion des affaires de la cité.
Tirant des leçons des élections locales de 2009 pendant lesquelles, des « tendances crypto-personnelles » auraient fait perdre le PDS, ces « rebelles du parti de Wade», n'ont pas manqué de dénoncer ceux qu'ils ont considéré comme une «indiscipline » notée au sein de leur formation politique qui, selon Diégui Diop et compagnie, « s'est accentuée depuis l'installation d'un coordonnateur départemental qui, sans méthode ni organisation privilégie, l'unilatéralité. »
Dans ce même ordre d'idées, ces jeunes libéraux qui appellent à « une révolte de la nouvelle génération », ont également fustigé le transfert de certains responsables de leurs lieux de vote, le mutisme des de grands leaders du parti et une division persistante qui, selon eux, ont fini de ternir l'image du parti bleu.
Face aux journalistes, les fondateurs du mouvement les « Acteurs Sûrs de la République», ont vilipendé le coordonnateur départemental du PDS. « Nous ne comptons pas sur Ameth Fall Braya » ont-ils fait savoir avant d'indiquer que le responsable libéral « a mis en place des comités électoraux dans les quartiers, sans pour autant nous solliciter. »
A les en croire, le profil du candidat maire du mouvement les AS pour la République, en vue des prochaines élections locales, va être décliné dans les jours à venir, qu'il soit du parti démocratique sénégalais (Pds) ou de la mouvance présidentielle.
Pour trouver le chemin de l'émergence, l'ex chef de cabinet du ministre d'Etat Awa Ndiaye, Diégui Diop, Ousmane Wade et les AS de la République comptent « constituer une alternative crédible, jouant d'abord au-delà des clivages partisans et des chapelles politiques, le rôle de la défunte convention des Saint-Louisiens et ensuite de sentinelle de la démocratie et de la bonne gouvernance tant locale que nationale. » Pour ce faire, ils déclarent tendre la main aux dignes fils de Saint-Louis, pour rebâtir leur ville qui, aujourd'hui, « a perdu son caractère luisant. »
Ces « militants originels du Pds » ont enfin estimé que des questions essentielles comme la réforme des institutions et l'acte III de la décentralisation, doivent constituer des moments forts de larges consensus de la part des acteurs de la scène politique et de la société civile.
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