Alors que les syndicalistes l’accusent d’avoir limogé arbitrairement, la secrétaire générale, M. SOURANG, brandit la l’arrêt de suspension ses fonctions signé ministre de commerce, en octobre 2018.
« Je me demande pourquoi, ils sont laissé jusqu’en ce moment de janvier pour contester », s’est interrogé président.
Concernant, l’arrestation du comptable M. FALL, il renseigne que ce dernier a été interpellé pour détournement de fonds de la chambre portant sur près 8 millions de francs CFA entre 2008 et 2013. « Une large discussion a été menée avec les membres du bureau et la décision a été prise de le poursuivre devant la justice. C’est par la suite que nous avons porté plainte et le procureur de la République l’a arrêté », a indiqué M. SOURANG.
S’agissant des autres licenciements évoqués par les ex-travailleurs, il précise que « ce sont des travailleurs que ne respectaient pas les heures de service ».
« Nous les avions avertis. Nous avions même saisi leurs proches sur leurs agissements. Nous avions commis un huissier de Justice pour constater les faits. Ils ont récidivé et les avons démis de leurs fonctions. Nous ne pouvons pas accepter que des gens soient payés et qu’ils refusent de travailler correctement », a-t-il dit.
L’opérateur économique a par ailleurs rappelé qu’il n’est pas un « président par intérim » comme l’indiquent les travailleurs en grogne. « J’ai porté ma candidature et j’ai remporté les élections. Qu’ils arrêtent de fournir de fausses informations », dira-t-il.
>>> Suivez sa réaction …
« Je me demande pourquoi, ils sont laissé jusqu’en ce moment de janvier pour contester », s’est interrogé président.
Concernant, l’arrestation du comptable M. FALL, il renseigne que ce dernier a été interpellé pour détournement de fonds de la chambre portant sur près 8 millions de francs CFA entre 2008 et 2013. « Une large discussion a été menée avec les membres du bureau et la décision a été prise de le poursuivre devant la justice. C’est par la suite que nous avons porté plainte et le procureur de la République l’a arrêté », a indiqué M. SOURANG.
S’agissant des autres licenciements évoqués par les ex-travailleurs, il précise que « ce sont des travailleurs que ne respectaient pas les heures de service ».
« Nous les avions avertis. Nous avions même saisi leurs proches sur leurs agissements. Nous avions commis un huissier de Justice pour constater les faits. Ils ont récidivé et les avons démis de leurs fonctions. Nous ne pouvons pas accepter que des gens soient payés et qu’ils refusent de travailler correctement », a-t-il dit.
L’opérateur économique a par ailleurs rappelé qu’il n’est pas un « président par intérim » comme l’indiquent les travailleurs en grogne. « J’ai porté ma candidature et j’ai remporté les élections. Qu’ils arrêtent de fournir de fausses informations », dira-t-il.
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