Quand j’étais ministre de l’Energie, j’ai fait annuler plusieurs contrats. C’est moi qui ai fait annuler le contrat Rufisque offshore profond attribué à Total ", a révélé Thierno Alassane Sall lors d’une conférence de presse tenue ce dimanche à Dakar. L’ancien patron des cadres républicains a aussi informé que le bloc sus-cité était réservé " pour l’avenir " (…) pour qu’on ait un début de propriété totale sur nos ressources », précise-t-il, d’autant plus qu’il existait déjà d’autres blocs. " Je disais que le Sénégal n’aura pas que 10% ", confie-t-il.
Ainsi, l’opposant juge que si tous ces contrats ont été signés malgré ses " réserves ", c’est parce que " les pouvoirs du président de la République sont exorbitants. " Il cite pèle-mêle l’affaire des 12 ha cédés à des privés étrangers au Fouta, le coût du Train Express Régional…
" L’endettement n’est pas fondé sur des performances économiques ", relève l’ex-ministre. Il croit savoir que si les institutions financières prêtent au Sénégal, c’est grâce au pétrole.
Toutes choses qui l’amèneront à militer pour que la procédure d’impeachment, qui existe aux Etats-Unis d’Amérique, puisse être en vigueur au Sénégal, pour qu’on puisse freiner cet ultra-présidentialisme. Pour lui, le chef de l’Etat a " une assemblée à sa dévotion et une justice qui regarde ailleurs. "
Thierno Alassane Sall a également déploré les cas d’achat de conscience relativement à la collecte de parrains.
DAKARACTU
Ainsi, l’opposant juge que si tous ces contrats ont été signés malgré ses " réserves ", c’est parce que " les pouvoirs du président de la République sont exorbitants. " Il cite pèle-mêle l’affaire des 12 ha cédés à des privés étrangers au Fouta, le coût du Train Express Régional…
" L’endettement n’est pas fondé sur des performances économiques ", relève l’ex-ministre. Il croit savoir que si les institutions financières prêtent au Sénégal, c’est grâce au pétrole.
Toutes choses qui l’amèneront à militer pour que la procédure d’impeachment, qui existe aux Etats-Unis d’Amérique, puisse être en vigueur au Sénégal, pour qu’on puisse freiner cet ultra-présidentialisme. Pour lui, le chef de l’Etat a " une assemblée à sa dévotion et une justice qui regarde ailleurs. "
Thierno Alassane Sall a également déploré les cas d’achat de conscience relativement à la collecte de parrains.
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