"Les engagements pris par François Hollande sur le nucléaire seront tenus dans le quinquennat. J'ai un mandat: je fermerai Fessenheim d'ici au 31 décembre 2016". Le site de Fessenheim (2 réacteurs de 900 MW), le plus ancien des 19 centrales françaises, est le seul dont la fermeture a été annoncée par le président français qui s'est engagé à réduire la part du nucléaire de 75% à 50% de la production électrique d'ici 2025.
La justice administrative française a rejeté le 16 mai une demande de fermeture immédiate de Fessenheim formulée par une association écologiste. De leur côté, l'opposition de droite ainsi que certains syndicats s'opposent à la fermeture de la centrale, au nom de l'indépendance énergétique de la France et de la défense de l'emploi.
Le projet de loi sur la transition énergétique qui doit être présenté au Parlement à l'automne "prendra les dispositions pour que cette fermeture soit effective", a indiqué le ministre.
"Il est temps que les responsables politiques reprennent la main sur les décisions énergétiques de la France", a-t-il affirmé, alors que le débat national organisé par le gouvernement sur la transition énergétique s'est conclu jeudi sur l'expression d'intérêts divergents entre différents secteurs économiques.
A propos des gaz de schiste, Philippe Martin a souligné que "faire miroiter l'éventualité qu'on puisse trouver une technique sans impact sur l'environnement (contrairement à la fracturation hydraulique) est une lubie".
François Hollande a exclu le 14 juillet toute exploration du gaz de schiste pendant sa présidence, mettant fin à une ambigüité concernant une éventuelle recherche de techniques de forage alternatives à la technique par fragmentation de la roche.
7sur7
La justice administrative française a rejeté le 16 mai une demande de fermeture immédiate de Fessenheim formulée par une association écologiste. De leur côté, l'opposition de droite ainsi que certains syndicats s'opposent à la fermeture de la centrale, au nom de l'indépendance énergétique de la France et de la défense de l'emploi.
Le projet de loi sur la transition énergétique qui doit être présenté au Parlement à l'automne "prendra les dispositions pour que cette fermeture soit effective", a indiqué le ministre.
"Il est temps que les responsables politiques reprennent la main sur les décisions énergétiques de la France", a-t-il affirmé, alors que le débat national organisé par le gouvernement sur la transition énergétique s'est conclu jeudi sur l'expression d'intérêts divergents entre différents secteurs économiques.
A propos des gaz de schiste, Philippe Martin a souligné que "faire miroiter l'éventualité qu'on puisse trouver une technique sans impact sur l'environnement (contrairement à la fracturation hydraulique) est une lubie".
François Hollande a exclu le 14 juillet toute exploration du gaz de schiste pendant sa présidence, mettant fin à une ambigüité concernant une éventuelle recherche de techniques de forage alternatives à la technique par fragmentation de la roche.
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