Le Président Macky Sall a encore réitéré sa volonté de faire du dialogue national une priorité. Après la prière de la Tabaski, le chef de l’État a déclaré y attacher du prix . Cependant, il précise que cette invite n’est pas seulement destinée aux politiciens, mais à tous les Sénégalais. S’adressant à ses détracteurs qui s’en sont ouverts à l’étranger, notamment aux représentants diplomatiques de certains pays , Macky Sall dit ceci : « Vilipender le Président à l’intérieur à l’extérieur est chose vaine »…
La ‘’démocratie sénégalaise’’ a une réputation que personne ne peut ternir, a soutenu le président de la République, Macky Sall, laissant entendre des opposants tentent de vilipender le Sénégal à l’étranger.
‘’Personne ne peut tenir la réputation de la démocratie sénégalaise. Partir à l’étranger en dénonçant le président de la République, en ternissant l’image du pays, en pensant que cela va nous mettre hors de la voie empruntée, c’est une erreur. On doit discuter’’, a lancé le chef de l’Etat en marge de la prière de la fête musulmane de l’Aïd El-Kébir, appelée Tabaski au Sénégal.
‘’C’est Dieu et les populations qui donnent le pouvoir, choisissent celui qui sera président’’, a ajouté Macky Sall, s’exprimant en wolof, après avoir prié à l’Institut islamique de Dakar.
Selon le chef de l’Etat, la démocratie sénégalaise est un ‘’héritage’’ qu’il faut sauvegarder. ‘’Nous devons le respect des autres pays envers le nôtre à l’héritage de notre démocratie, pas à notre notre population ou à notre puissance’’, a-t-il souligné.
Macky Sall s’est dit favorable à la discussion entre la majorité et l’opposition, ‘’dans le respect des institutions et de la démocratie’’.
‘’La démocratie a des règles. Si tout le monde est d’accord sur les règles, nous pouvons aller aux élections, ce qui renforce la démocratie sénégalaise’’, a-t-il poursuivi, parlant encore en wolof.
‘’Quand on dirige un pays, on ne perd pas de temps à cause des discussions. Mon devoir, c’est d’appeler au dialogue (…) Le dialogue n’est pas seulement politique. (…) Les affaires concernant le pays ne se résument pas à la politique. La politique ne fait pas marcher un pays’’, a commenté le président de la République.
Le gouvernement doit aussi entretenir un ‘’dialogue social’’ avec les travailleurs, les syndicalistes, les retraités et d’autres segments sociaux, a-t-il ajouté, ajoutant que le dialogue nécessaire en politique a déjà eu lieu et qu’il ne reste qu’à organiser les prochaines élections, la présidentielle et les locales de 2019.
Dakarmatin
La ‘’démocratie sénégalaise’’ a une réputation que personne ne peut ternir, a soutenu le président de la République, Macky Sall, laissant entendre des opposants tentent de vilipender le Sénégal à l’étranger.
‘’Personne ne peut tenir la réputation de la démocratie sénégalaise. Partir à l’étranger en dénonçant le président de la République, en ternissant l’image du pays, en pensant que cela va nous mettre hors de la voie empruntée, c’est une erreur. On doit discuter’’, a lancé le chef de l’Etat en marge de la prière de la fête musulmane de l’Aïd El-Kébir, appelée Tabaski au Sénégal.
‘’C’est Dieu et les populations qui donnent le pouvoir, choisissent celui qui sera président’’, a ajouté Macky Sall, s’exprimant en wolof, après avoir prié à l’Institut islamique de Dakar.
Selon le chef de l’Etat, la démocratie sénégalaise est un ‘’héritage’’ qu’il faut sauvegarder. ‘’Nous devons le respect des autres pays envers le nôtre à l’héritage de notre démocratie, pas à notre notre population ou à notre puissance’’, a-t-il souligné.
Macky Sall s’est dit favorable à la discussion entre la majorité et l’opposition, ‘’dans le respect des institutions et de la démocratie’’.
‘’La démocratie a des règles. Si tout le monde est d’accord sur les règles, nous pouvons aller aux élections, ce qui renforce la démocratie sénégalaise’’, a-t-il poursuivi, parlant encore en wolof.
‘’Quand on dirige un pays, on ne perd pas de temps à cause des discussions. Mon devoir, c’est d’appeler au dialogue (…) Le dialogue n’est pas seulement politique. (…) Les affaires concernant le pays ne se résument pas à la politique. La politique ne fait pas marcher un pays’’, a commenté le président de la République.
Le gouvernement doit aussi entretenir un ‘’dialogue social’’ avec les travailleurs, les syndicalistes, les retraités et d’autres segments sociaux, a-t-il ajouté, ajoutant que le dialogue nécessaire en politique a déjà eu lieu et qu’il ne reste qu’à organiser les prochaines élections, la présidentielle et les locales de 2019.
Dakarmatin