Il y a eu Rihanna, Macron et des milliards. Mais, surtout de nombreux accords signés entre le France et Sénégal lors de la visite de 72 heures du président Français à Dakar. Même si on ne connaît pas le contenu des partenariats, la dimension bilatérale a été au cœur de la visite d’Emmanuel Macron.
Pour Mamadou Ndoye, Secrétaire général de Ligue démocratique, « aujourd’hui les seuls accords qui vaillent entre les deux pays c’est comment rééquilibrer la balance entre le exportations et les importations ». Il s’en explique dans un entretien avec le journal Enquête.
« Le Sénégal par rapport à l’importation et l’exportation c’est un rapport d’un quart à peu près sinon moins. Ce qui veut dire que le Sénégal est tout à fait perdant, aujourd’hui, dans ses échanges avec la France. Peut-être ça aussi c’est l’arbre qui cache la forêt parce que lorsqu’on regarde la part qu’occupe les sociétés françaises, c’est encore beaucoup plus inquiétant », relève-t-il.
« Je crois que tout accord que l’on doit signer avec la France c’est de faire comprendre à ce pays aujourd’hui qu’il est absolument indispensable de rééquilibrer, parce que nous avons besoin de protéger notre économie, nous avons surtout besoin de protéger nos acteurs économiques pour qu’ils aient le temps d’apprentissage nécessaire et pour devenir compétitifs comme les autres entreprises mondiales », assène-t-il.
SENEWEB
Pour Mamadou Ndoye, Secrétaire général de Ligue démocratique, « aujourd’hui les seuls accords qui vaillent entre les deux pays c’est comment rééquilibrer la balance entre le exportations et les importations ». Il s’en explique dans un entretien avec le journal Enquête.
« Le Sénégal par rapport à l’importation et l’exportation c’est un rapport d’un quart à peu près sinon moins. Ce qui veut dire que le Sénégal est tout à fait perdant, aujourd’hui, dans ses échanges avec la France. Peut-être ça aussi c’est l’arbre qui cache la forêt parce que lorsqu’on regarde la part qu’occupe les sociétés françaises, c’est encore beaucoup plus inquiétant », relève-t-il.
« Je crois que tout accord que l’on doit signer avec la France c’est de faire comprendre à ce pays aujourd’hui qu’il est absolument indispensable de rééquilibrer, parce que nous avons besoin de protéger notre économie, nous avons surtout besoin de protéger nos acteurs économiques pour qu’ils aient le temps d’apprentissage nécessaire et pour devenir compétitifs comme les autres entreprises mondiales », assène-t-il.
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