Le Sénégal va bientôt démarrer la construction de son premier Parc éolien d’utilité publique qui fournira « 158,7 MW d’énergie propre, fiable et à prix compétitif » au réseau local en pleine expansion.
Un accord de financement de cette première exploitation éolienne du Sénégal est signé à l’initiative de « Lekela » qui a finalisé mardi dernier l’accord de financement de son projet de Parc éolien de Taïba Ndiaye, au Sénégal, rapporte la source.
Laquelle ajoute que le financement de ce projet est assuré par l’Institution de financement du développement du gouvernement des États-Unis (OPIC) et par l’Agence de crédit à l’exportation du Danemark (EKF).
Selon le texte, « la construction commencera prochainement à Taïba Ndiaye. Elle va précéder la livraison de 158,7 MW d’énergie propre et fiable et va augmenter la production d’électricité du Sénégal de 15% ».
Le communiqué indique qu’une fois « le projet pleinement opérationnel (moins de deux ans), il fournira plus de 450 000 MWh d’énergie annuelle à plus de 2 millions de personnes ».
Situé à 70 km au nord de Dakar, le projet connu sous le nom de Parc éolien Taïba Ndiaye, « se composera de 46 éoliennes Vestas, chacune capable de produire 3,45 MW ».
Les rédacteurs du communiqué indiquent que ce projet constitue un élément essentiel de la stratégie du gouvernement du Sénégal pour accroître la production d’électricité propre, diversifier le mix énergétique du pays et garantir l’accessibilité financière à l’énergie.
Ils font savoir que ce « projet permettra d’économiser plus de 300 000 tonnes d’émissions de CO2 dans l’atmosphère par an et va créer de la valeur ajouté dans les communautés auprès desquelles elle opère et où un vaste programme d’investissement social à Taïba Ndiaye a aussi commencé ».
L’objectif principal de ce programme est de créer des moyens de subsistance durables pour les communautés, en améliorant l’agriculture et en offrant des opportunités de formation professionnelle aux jeunes, note la source.
Qui explique qu’il s’agit aussi d’initiatives visant à stimuler l’exploitation agricole dans la région et à accroître les ressources informatiques dans les écoles (déjà en cours), ainsi que d’autres programmes, lit-on dans le texte.
APS
Un accord de financement de cette première exploitation éolienne du Sénégal est signé à l’initiative de « Lekela » qui a finalisé mardi dernier l’accord de financement de son projet de Parc éolien de Taïba Ndiaye, au Sénégal, rapporte la source.
Laquelle ajoute que le financement de ce projet est assuré par l’Institution de financement du développement du gouvernement des États-Unis (OPIC) et par l’Agence de crédit à l’exportation du Danemark (EKF).
Selon le texte, « la construction commencera prochainement à Taïba Ndiaye. Elle va précéder la livraison de 158,7 MW d’énergie propre et fiable et va augmenter la production d’électricité du Sénégal de 15% ».
Le communiqué indique qu’une fois « le projet pleinement opérationnel (moins de deux ans), il fournira plus de 450 000 MWh d’énergie annuelle à plus de 2 millions de personnes ».
Situé à 70 km au nord de Dakar, le projet connu sous le nom de Parc éolien Taïba Ndiaye, « se composera de 46 éoliennes Vestas, chacune capable de produire 3,45 MW ».
Les rédacteurs du communiqué indiquent que ce projet constitue un élément essentiel de la stratégie du gouvernement du Sénégal pour accroître la production d’électricité propre, diversifier le mix énergétique du pays et garantir l’accessibilité financière à l’énergie.
Ils font savoir que ce « projet permettra d’économiser plus de 300 000 tonnes d’émissions de CO2 dans l’atmosphère par an et va créer de la valeur ajouté dans les communautés auprès desquelles elle opère et où un vaste programme d’investissement social à Taïba Ndiaye a aussi commencé ».
L’objectif principal de ce programme est de créer des moyens de subsistance durables pour les communautés, en améliorant l’agriculture et en offrant des opportunités de formation professionnelle aux jeunes, note la source.
Qui explique qu’il s’agit aussi d’initiatives visant à stimuler l’exploitation agricole dans la région et à accroître les ressources informatiques dans les écoles (déjà en cours), ainsi que d’autres programmes, lit-on dans le texte.
APS