Cette convention intervient au titre de la stratégie sectorielle de transition énergétique et l’élaboration d’une feuille de route pour la transformation de l’hydrogène et la promotion du contenu local des projets y afférents.
Dans une allocution qu’il a faite à cette occasion, le ministre du Pétrole, des Mines et de l’Énergie a indiqué que cette convention s’inscrit dans le cadre de la vision stratégique du secteur en matière d’hydrocarbures.
Il a précisé que les composantes de cette stratégie concourent à l’accélération de la transition énergétique au service d’un développement respectueux des conventions internationales relatives au changement climatique et d’accès aux énergies propres.
Pour sa part, le président de l’institut français du pétrole et des énergies renouvelables a souligné que son institution entretient des relations de coopération avec la Mauritanie depuis une longue période, ajoutant que les termes de la convention répondent aux grandes ambitions de la Mauritanie dans le domaine de l’énergie.
C’est ainsi qu’ils portent notamment sur l’élaboration d’études géologiques et géophysiques, d’appui aux prospections et recherches de pétrole et d’accompagnement par l’apport de ressources et d’expertises techniques.
La convention stipule la création d’un centre de données pétrolières, d’une banque de données numérisées et d’études sismologiques, en plus d’un centre de prévisions et d’études prospectives et de l’appui à la création d’un laboratoire pétro-physique ainsi que la formation, notamment à télé-distance.
En matière d’énergie renouvelable et d’hydrogène, la convention porte sur le renforcement des capacités dans les domaines contractuels et organisationnels, l’élaboration des études techniques, économiques et financières ainsi que les études relatives aux normes et procédures de transport et de stockage de l’hydrogène et de ses dérivés en plus de l’amélioration des contenus locaux des projets.
La cérémonie de signature s’est déroulée en présence du secrétaire général par intérim du ministère du Pétrole, des Mines et de l’Énergie et de l’ambassadeur de France accrédité en Mauritanie.
CRIDEM
Dans une allocution qu’il a faite à cette occasion, le ministre du Pétrole, des Mines et de l’Énergie a indiqué que cette convention s’inscrit dans le cadre de la vision stratégique du secteur en matière d’hydrocarbures.
Il a précisé que les composantes de cette stratégie concourent à l’accélération de la transition énergétique au service d’un développement respectueux des conventions internationales relatives au changement climatique et d’accès aux énergies propres.
Pour sa part, le président de l’institut français du pétrole et des énergies renouvelables a souligné que son institution entretient des relations de coopération avec la Mauritanie depuis une longue période, ajoutant que les termes de la convention répondent aux grandes ambitions de la Mauritanie dans le domaine de l’énergie.
C’est ainsi qu’ils portent notamment sur l’élaboration d’études géologiques et géophysiques, d’appui aux prospections et recherches de pétrole et d’accompagnement par l’apport de ressources et d’expertises techniques.
La convention stipule la création d’un centre de données pétrolières, d’une banque de données numérisées et d’études sismologiques, en plus d’un centre de prévisions et d’études prospectives et de l’appui à la création d’un laboratoire pétro-physique ainsi que la formation, notamment à télé-distance.
En matière d’énergie renouvelable et d’hydrogène, la convention porte sur le renforcement des capacités dans les domaines contractuels et organisationnels, l’élaboration des études techniques, économiques et financières ainsi que les études relatives aux normes et procédures de transport et de stockage de l’hydrogène et de ses dérivés en plus de l’amélioration des contenus locaux des projets.
La cérémonie de signature s’est déroulée en présence du secrétaire général par intérim du ministère du Pétrole, des Mines et de l’Énergie et de l’ambassadeur de France accrédité en Mauritanie.
CRIDEM