"Nous exigeons la candidature de tous ceux qui remplissent les conditions avant les tripatouillages constitutionnels et législatifs de Macky Sall. Cela veut dire avant que le chef de l'Etat ne modifie la Constitution et y introduire les histoires d"électeurs, etc. C'est un précédent dangereux de laisser un candidat choisir celui qui doit être candidat et celui qui ne peut pas l'être (…) Je ne vois pas quel stratagème Macky Sall peut mettre en place pour m'empêcher d'être, car nous avons rempli toutes les conditions."
La France et notre privé national
"Nous ne pouvons plus accepter d'être des étrangers dans notre propre pays et que les étrangers soient mis en avant quand ils viennent chez nous. Qu'on rabaisse les fils du pays et livrer notre économie à ces étrangers. Ça ne peut pas continuer. Il faut que ça s'arrête. Et que personne ne nous dise que c'est un débat sensible, parce que la France va faire ceci, la France va faire cela. Ce n'est pas notre problème. On ne peut pas construire notre pays sans nous réapproprier nos ressources."
Le niveau zéro de l'industrialisation
"Le Sénégal, c'est presque zéro industrialisation. L'Ethiopie, ce qui lui a permis d'avoir cette croissance, c'est son programme industrialisation. Il a fallu qu'il fasse 7 ans, avec aucune politique industrielle, et le 31 décembre, il nous dit que sa priorité, pour un second mandat, ce sera l'industrialisation et l'emploi des jeunes. Devons-nous donner le pays à celui-là ?"
Réduire de moitié le pouvoir présidentiel
"La réforme que nous voulons faire, c'est de réduire drastiquement les pouvoirs du président de la République dans ce pays. Si nous voulons faire une bonne réforme, il faudra réduire de moitié ses pouvoirs. Parce que nous, nous n'avons pas un président, mais un roi qui a le pouvoir de faire ce qu'il veut, couvert par l'immunité. Ça ne peut pas continuer."
Le sort des "voleurs de la République"
"L'impunité qui sévit dans ce pays, ce ne sont pas des détournements, mais du vol de l'argent du contribuable. Et ça ne peut pas continuer. Il faut que cela cesse. Rien que pour cela, il faut que ceux qui s'adonnent à ces pratiques, qu'ils soient enfermés, sans aucune intervention possible. Ils doivent être enfermés et que ce qu'ils ont volé leur soit retiré. Il faut qu'on applique les lois qu'on s'est librement dotés."
La France et notre privé national
"Nous ne pouvons plus accepter d'être des étrangers dans notre propre pays et que les étrangers soient mis en avant quand ils viennent chez nous. Qu'on rabaisse les fils du pays et livrer notre économie à ces étrangers. Ça ne peut pas continuer. Il faut que ça s'arrête. Et que personne ne nous dise que c'est un débat sensible, parce que la France va faire ceci, la France va faire cela. Ce n'est pas notre problème. On ne peut pas construire notre pays sans nous réapproprier nos ressources."
Le niveau zéro de l'industrialisation
"Le Sénégal, c'est presque zéro industrialisation. L'Ethiopie, ce qui lui a permis d'avoir cette croissance, c'est son programme industrialisation. Il a fallu qu'il fasse 7 ans, avec aucune politique industrielle, et le 31 décembre, il nous dit que sa priorité, pour un second mandat, ce sera l'industrialisation et l'emploi des jeunes. Devons-nous donner le pays à celui-là ?"
Réduire de moitié le pouvoir présidentiel
"La réforme que nous voulons faire, c'est de réduire drastiquement les pouvoirs du président de la République dans ce pays. Si nous voulons faire une bonne réforme, il faudra réduire de moitié ses pouvoirs. Parce que nous, nous n'avons pas un président, mais un roi qui a le pouvoir de faire ce qu'il veut, couvert par l'immunité. Ça ne peut pas continuer."
Le sort des "voleurs de la République"
"L'impunité qui sévit dans ce pays, ce ne sont pas des détournements, mais du vol de l'argent du contribuable. Et ça ne peut pas continuer. Il faut que cela cesse. Rien que pour cela, il faut que ceux qui s'adonnent à ces pratiques, qu'ils soient enfermés, sans aucune intervention possible. Ils doivent être enfermés et que ce qu'ils ont volé leur soit retiré. Il faut qu'on applique les lois qu'on s'est librement dotés."