Le développement de l’éducation de jeunes enfants reste ''un investissement productif'' dans un pays qui aspire à l'émergence, selon la secrétaire exécutive de l'ISESCO, Marième Ndiaye Niang, estimant que le préscolaire constitue ''une phase indispensable'' dans la préparation des tout-petits à leur future vie scolaire.
''Les possibilités d’éducation des enfants prennent forme bien avant qu’ils n’entrent à l’école primaire'', a-t-elle souligné, mardi à Saint-Louis, à l’occasion de l’ouverture d’un atelier en ‘’éveil au milieu’’ à l’initiative de la Commission nationale pour l’UNESCO/ISESCO.
Selon elle, ‘’de bons programmes de la petite enfance peuvent contribuer à l’amélioration chances de toute une vie pour les enfants, notamment, ceux qui sont vulnérables et défavorisés et qui ont moins de chances d’en bénéficier’’.
Elle a affirmé que ‘’les études internationales mettent en évidence les avantages majeurs qu’une éducation préscolaire de qualité peut apporter aux enfants et montrent comment cette éducation peut atténuer les inégalités des chances’’.
‘’Elles contribuent également à promouvoir la généralisation de l’enseignement fondamental, la scolarisation de la petite fille et améliorer la qualité et l’efficience du système éducatif ainsi qu’elles montrent comment l’éducation préscolaire est un investissement qui permet à la société de réduire les risques en matière de santé, d’échec scolaire, de délinquance et de violence’’, a dit Mme Niang.
Quant à Mamadou Ndiaye Dia de la Commission nationale pour l’Unesco, il a mis en exergue le soutien financier de l’ISESCO qui a permis d’organiser cette deuxième rencontre à Saint-Louis, après celle de décembre 2012.
Selon M. Dia, ‘’l’intérêt de l’éducation en général n’est plus à démontrer et les études ont fini d’établir le caractère déterminant de l’éducation dès le bas-âge sur la vie de l’individu, aussi bien aux plans cognitif que socio-affectif’’.
Outre, les effets sur l’enfant, futur citoyen, a-t-il indiqué, ''c’est l’avenir de toute une nation qui est assujetti à la formulation de politiques pertinentes d’éducation et de prise en charge de la petite enfance''.
Une trentaine d’agents d’encadrement des structures de développement intégré du préscolaire prennent part à cette rencontre de deux jours ouverte officiellement par l’inspecteur d’académie Abdou Ndar Fall.
APS
''Les possibilités d’éducation des enfants prennent forme bien avant qu’ils n’entrent à l’école primaire'', a-t-elle souligné, mardi à Saint-Louis, à l’occasion de l’ouverture d’un atelier en ‘’éveil au milieu’’ à l’initiative de la Commission nationale pour l’UNESCO/ISESCO.
Selon elle, ‘’de bons programmes de la petite enfance peuvent contribuer à l’amélioration chances de toute une vie pour les enfants, notamment, ceux qui sont vulnérables et défavorisés et qui ont moins de chances d’en bénéficier’’.
Elle a affirmé que ‘’les études internationales mettent en évidence les avantages majeurs qu’une éducation préscolaire de qualité peut apporter aux enfants et montrent comment cette éducation peut atténuer les inégalités des chances’’.
‘’Elles contribuent également à promouvoir la généralisation de l’enseignement fondamental, la scolarisation de la petite fille et améliorer la qualité et l’efficience du système éducatif ainsi qu’elles montrent comment l’éducation préscolaire est un investissement qui permet à la société de réduire les risques en matière de santé, d’échec scolaire, de délinquance et de violence’’, a dit Mme Niang.
Quant à Mamadou Ndiaye Dia de la Commission nationale pour l’Unesco, il a mis en exergue le soutien financier de l’ISESCO qui a permis d’organiser cette deuxième rencontre à Saint-Louis, après celle de décembre 2012.
Selon M. Dia, ‘’l’intérêt de l’éducation en général n’est plus à démontrer et les études ont fini d’établir le caractère déterminant de l’éducation dès le bas-âge sur la vie de l’individu, aussi bien aux plans cognitif que socio-affectif’’.
Outre, les effets sur l’enfant, futur citoyen, a-t-il indiqué, ''c’est l’avenir de toute une nation qui est assujetti à la formulation de politiques pertinentes d’éducation et de prise en charge de la petite enfance''.
Une trentaine d’agents d’encadrement des structures de développement intégré du préscolaire prennent part à cette rencontre de deux jours ouverte officiellement par l’inspecteur d’académie Abdou Ndar Fall.
APS