Selon Abdourahmane Seck, la création du Centre d’étude des religions s’explique par ‘’la portée de son inscription dans cette ouverture paradigmatique de l’université sénégalaise vers le pouls de la société’’ et de ‘’vocation réaffirmée de doter le continent d’une expertise qualifiée aussi bien sur les questions africaines que celles portant sur les autres régions du monde’’.La création de ce centre confirme la spécificité de l’UFR CRAC et visant à ‘’drainer talents et expertises concourant au quotidien à penser, produire, reproduire, réinventer le lien social et symbolique’’ qui fait de l’université ‘’une communauté nécessairement une et toute autant plurielle’’, a indiqué M. Seck.C’est, a-t-il ajouté, une spécificité qui se réfère à ‘’l’aspiration fondamentale’’ d’une jeune génération d’universitaires africains soucieux de positionner les espaces académiques locaux au même niveau d’expertise qu’on peut trouver au Nord sur les enjeux complexes du monde.
Prié de définir les orientations du centre dans un contexte local, sous-régional et international marqué par des crispations et des tensions autour des religions, Seck a expliqué que le contexte social, politique et géopolitique du Master en sciences sociales du religieux est celui d’un monde ‘’devenu singulièrement soucieux du religieux, en rapport avec ses enjeux multiples de civilisation, de sécurité, de mobilité et de société''.Le directeur du centre a relevé que le Master en sciences sociales des religions propose une formation épistémologique et méthodologique qui met l’accent sur l’histoire des religions antiques, des monothéismes sémitiques (judaïsme, christianisme, islam), des religions africaines et asiatiques.
Le cours aborde par ailleurs ‘’les rapports de contemporanéité entre religions et dynamiques socioculturelles, religions et débats sociétaux, études comparées des religions, conflits liés aux religions, mais aussi les médiations qu’ils peuvent inspirer’’.D’autres thèmes sont aussi abordés, tels les rapports entre religions et géopolitique, santé ou encore la question du dialogue interreligieux, entre autres, a dit Abdourahmane Seck, précisant que l’offre rencontre une telle demande que la date limite de dépôts de demande d’inscription a été repoussée jusqu’au 7 février prochain.’Le Centre, unique en son genre en Afrique francophone’’, contribuera au dialogue entre les religions’’ en produisant et diffusant du savoir sur l’histoire et les enjeux contemporains des religions et en faisant des étudiants ‘’les meilleurs ambassadeurs de ce besoin (de dialogue)’’, a indiqué le chercheur.
Selon lui, les étudiants disposeront, au terme de leur formation, des outils méthodologiques, des concepts et théories des sciences sociales (histoire, anthropologie, sociologie, philosophie, science politique) dans l’approche du fait religieux, pour conduire des parcours professionnels ou d’enseignants-chercheurs.Avec ces outils, a-t-il poursuivi, ils s’investiront dans les carrières qui les attendront dans les différents métiers d’enseignants-chercheurs en sciences sociales des religions, de conseillers en matière de développement.Leur passage au centre d’étude des religions de la sous-région les aidera aussi dans le travail d’aide à la décision en politiques publiques, d’analystes auprès des ONG et des organisations internationales, de conseillers en communication et médiation interculturelle (secteurs sanitaire, économique, politique et social), a conclu Abdourahmane Seck.
Prié de définir les orientations du centre dans un contexte local, sous-régional et international marqué par des crispations et des tensions autour des religions, Seck a expliqué que le contexte social, politique et géopolitique du Master en sciences sociales du religieux est celui d’un monde ‘’devenu singulièrement soucieux du religieux, en rapport avec ses enjeux multiples de civilisation, de sécurité, de mobilité et de société''.Le directeur du centre a relevé que le Master en sciences sociales des religions propose une formation épistémologique et méthodologique qui met l’accent sur l’histoire des religions antiques, des monothéismes sémitiques (judaïsme, christianisme, islam), des religions africaines et asiatiques.
Le cours aborde par ailleurs ‘’les rapports de contemporanéité entre religions et dynamiques socioculturelles, religions et débats sociétaux, études comparées des religions, conflits liés aux religions, mais aussi les médiations qu’ils peuvent inspirer’’.D’autres thèmes sont aussi abordés, tels les rapports entre religions et géopolitique, santé ou encore la question du dialogue interreligieux, entre autres, a dit Abdourahmane Seck, précisant que l’offre rencontre une telle demande que la date limite de dépôts de demande d’inscription a été repoussée jusqu’au 7 février prochain.’Le Centre, unique en son genre en Afrique francophone’’, contribuera au dialogue entre les religions’’ en produisant et diffusant du savoir sur l’histoire et les enjeux contemporains des religions et en faisant des étudiants ‘’les meilleurs ambassadeurs de ce besoin (de dialogue)’’, a indiqué le chercheur.
Selon lui, les étudiants disposeront, au terme de leur formation, des outils méthodologiques, des concepts et théories des sciences sociales (histoire, anthropologie, sociologie, philosophie, science politique) dans l’approche du fait religieux, pour conduire des parcours professionnels ou d’enseignants-chercheurs.Avec ces outils, a-t-il poursuivi, ils s’investiront dans les carrières qui les attendront dans les différents métiers d’enseignants-chercheurs en sciences sociales des religions, de conseillers en matière de développement.Leur passage au centre d’étude des religions de la sous-région les aidera aussi dans le travail d’aide à la décision en politiques publiques, d’analystes auprès des ONG et des organisations internationales, de conseillers en communication et médiation interculturelle (secteurs sanitaire, économique, politique et social), a conclu Abdourahmane Seck.