Voudrais-je, à l’entame de mes propos, vous informer, Monsieur le directeur de publication de Ndarinfo, que cet article ne constitue point une réponse à l’auteur des trois articles parus dans votre site et dans lesquels il attaque sévèrement l’ODCAV de Saint-Louis, suite à la décision qu’il a prise, à savoir ne pas déférer à la convocation par Madame le préfet de Saint-Louis du Comité départemental de développement sur le démarrage du championnat national populaire communément appelés « Navétanes » .
Encore moins, il ne s’agit point de donner une leçon de morale à l’auteur des dits articles, ni de lui rappeler les principes et règles déontologiques qui fondent le métier de journalisme.
Toutefois, force est de constater, qu’après lecture de ces différents articles, l’on peut, bel est bien, affirmer une prise de position qui ne dit pas son mot.
L’on se demande réellement les raisons d’une telle attaque qui ne sont nullement fondée. Parler d’amateurisme, de prise d’otage, de dissolution de l’ODCAV, apposer une photo du stade Maitre Babacar Sèye qui date du 13 octobre 2016 et dans laquelle on présente l’affaissement d’une rampe de la tribune, la visualisation du gazon du stade Maitre ...., la non publication de toute la lettre que l’ODCAV a envoyée à votre site, l’absence de votre structure à la conférence de presse tenue au stade Mawade Wade et à laquelle vous avez été convié... autant de griefs qui confirment mes propos, à savoir l’absence de neutralité de votre agent et sa prise de position très manifeste.
M’adressant maintenant à vous, auteur des articles :
Que dites-vous des villages qui jouent sur des terrains vagues sans sécurité ?
Qui dites-vous des grandes villes qui jouent sur des terrains non clôturés ?
Pourquoi n’avez-vous pas montré la réhabilitation de la rampe et celle du grillage ?
Pourquoi n’avez-vous pas aussi montré le siège de l’ODCAV qui a été requalifié ?
N’est-ce pas, c’est vous qui aviez, lors du festival de jazz, voulu mettre Saint-Louis en feu avec votre fameux jihadiste muni de son kalachnikov ?
N’est-ce pas, c’est vous-même qui envoyez des rocs à Monsieur le Maire de la commune de Saint-Louis avec comme objectif être reçu pour être sucré ?
N’est-ce pas, c’est vous qui me confirmez au téléphone que continuerez, à travers votre site, à désavouer l’ODCAV ?
La mission première d’un journaliste est d’informer juste et vrai mais surtout adopter une position de neutralité et d’impartialité dans sa communication qu’elle soit orales et/ou écrites.
Cette mission importante marque la crédibilité du métier de journaliste et le respect du corps par les lecteurs qui savent décortiquer un message.
L’éthique voudrait, face à de telles situations, qu’on interpelle les deux parties pour avoir les bonnes informations.
Revenant sur la position de l’ODCAV de ne pas participer au CDD, je vous informe que nous ne prenons jamais une décision sans qu’elle ne soit partagée avec la base. Le lundi 1er Août 2016, la structure a convoqué une réunion élargie aux présidents de Zone pour discuter sur les modalités pratiques de démarrage du CNP à Saint-Louis. Au cours du débat, tous les présidents de zone ont décidé de boycotter le CDD.
Vous-même, auteur de cet article, vous conviendrez avec moi, que cet impertinent voire aberrant de répondre à la convocation de madame le préfet qui, par arrêté préfectoral, disponible dans les locaux de l’ODCAV, a interdit la pratique sportive au niveau du stade Maitre Babacar Sèye.
La seule discussion qui pourrait présentement se tenir avec elle, porterait sur les modalités d’ouverture du stade Maitre Babacar Sèye.
Cher collaborateur, diffamateur
Je vous informe aussi que l’ODCAV de Saint-Louis n’a pas attendu le démarrage du CNP pour entamer des démarches.
Toutes les autorités sportives et politiques ont été interpellées et certaines étaient parties voir Madame le préfet qui refuse de renoncer à sa position. Récemment, au mois d’avril, le Maire de la commune a pris contact avec le gouverneur qui a réconforté le préfet dans sa position.
Vous confirmez avec moi que le seul stade Mawade Wade ne suffit pas pour dérouler toutes les cinq compétitions sportives sous l’égide de l’ODCAV, je veux parler du championnat zonal, du tournoi du sifflet, de la coupe du Maire de Saint-Louis et celle de Gandon et des phases départementales.
Notre objectif a toujours été de terminer nos compétitions avant l’ouverture des classes. Cet objectif ne pourra jamais être atteint si le département ne dispose pas d’infrastructures suffisantes et propices.
Au moment où l’Etat du Sénégal réhabilite et construit de nouveaux stades, on ferme un stade à Saint-Louis. Et quel Stade ! Celui qui porte le nom d’une illustre personnalité qui a marqué l’histoire politique, judiciaire, sportive du pays ; ne ce reste, à travers son image, on doit penser à immortaliser ce personnage à travers ce stade qui porte son nom.
Par cette occasion, qui m’est offerte, et au nom de l’ODCAV de Saint-Louis, nous invitons Madame le Préfet à revoir sa position, mieux, à entamer un dialogue avec les acteurs du mouvement qui ne sont mus que par un seul et unique intérêt, l’épanouissement de la jeunesse de Saint-Louis au plan sportif, culturel, économique et social.
Notre but n’est point d’être en conflit avec elle, mais qu’elle sache que nous accordons un grand intérêt à la jeunesse qui porte un grand espoir sur ses dirigeants.
Quand à vous, collaborateur, diffamateur, sois armé de courage et surtout de retenue. Revisite un peu vos cours de déontologie professionnelle, si évidement vous avez reçu une formation professionnelle, je l’ignore sincèrement. Cela vous permettrait de revoir votre plume.
Si maintenant vous n’avez reçu aucune formation allant dans ce sens, vous vous approchez de l’ODCAV qui dispose d’un personnel qualifié ayant des compétences avérées dans ce domaine et vous formatera comme « une machine » en panne ou une « clé » remplie de virus.
Al Ousseynou Ka
Chargé de la communication de l’ODCAV de Saint-Louis
Encore moins, il ne s’agit point de donner une leçon de morale à l’auteur des dits articles, ni de lui rappeler les principes et règles déontologiques qui fondent le métier de journalisme.
Toutefois, force est de constater, qu’après lecture de ces différents articles, l’on peut, bel est bien, affirmer une prise de position qui ne dit pas son mot.
L’on se demande réellement les raisons d’une telle attaque qui ne sont nullement fondée. Parler d’amateurisme, de prise d’otage, de dissolution de l’ODCAV, apposer une photo du stade Maitre Babacar Sèye qui date du 13 octobre 2016 et dans laquelle on présente l’affaissement d’une rampe de la tribune, la visualisation du gazon du stade Maitre ...., la non publication de toute la lettre que l’ODCAV a envoyée à votre site, l’absence de votre structure à la conférence de presse tenue au stade Mawade Wade et à laquelle vous avez été convié... autant de griefs qui confirment mes propos, à savoir l’absence de neutralité de votre agent et sa prise de position très manifeste.
M’adressant maintenant à vous, auteur des articles :
Que dites-vous des villages qui jouent sur des terrains vagues sans sécurité ?
Qui dites-vous des grandes villes qui jouent sur des terrains non clôturés ?
Pourquoi n’avez-vous pas montré la réhabilitation de la rampe et celle du grillage ?
Pourquoi n’avez-vous pas aussi montré le siège de l’ODCAV qui a été requalifié ?
N’est-ce pas, c’est vous qui aviez, lors du festival de jazz, voulu mettre Saint-Louis en feu avec votre fameux jihadiste muni de son kalachnikov ?
N’est-ce pas, c’est vous-même qui envoyez des rocs à Monsieur le Maire de la commune de Saint-Louis avec comme objectif être reçu pour être sucré ?
N’est-ce pas, c’est vous qui me confirmez au téléphone que continuerez, à travers votre site, à désavouer l’ODCAV ?
La mission première d’un journaliste est d’informer juste et vrai mais surtout adopter une position de neutralité et d’impartialité dans sa communication qu’elle soit orales et/ou écrites.
Cette mission importante marque la crédibilité du métier de journaliste et le respect du corps par les lecteurs qui savent décortiquer un message.
L’éthique voudrait, face à de telles situations, qu’on interpelle les deux parties pour avoir les bonnes informations.
Revenant sur la position de l’ODCAV de ne pas participer au CDD, je vous informe que nous ne prenons jamais une décision sans qu’elle ne soit partagée avec la base. Le lundi 1er Août 2016, la structure a convoqué une réunion élargie aux présidents de Zone pour discuter sur les modalités pratiques de démarrage du CNP à Saint-Louis. Au cours du débat, tous les présidents de zone ont décidé de boycotter le CDD.
Vous-même, auteur de cet article, vous conviendrez avec moi, que cet impertinent voire aberrant de répondre à la convocation de madame le préfet qui, par arrêté préfectoral, disponible dans les locaux de l’ODCAV, a interdit la pratique sportive au niveau du stade Maitre Babacar Sèye.
La seule discussion qui pourrait présentement se tenir avec elle, porterait sur les modalités d’ouverture du stade Maitre Babacar Sèye.
Cher collaborateur, diffamateur
Je vous informe aussi que l’ODCAV de Saint-Louis n’a pas attendu le démarrage du CNP pour entamer des démarches.
Toutes les autorités sportives et politiques ont été interpellées et certaines étaient parties voir Madame le préfet qui refuse de renoncer à sa position. Récemment, au mois d’avril, le Maire de la commune a pris contact avec le gouverneur qui a réconforté le préfet dans sa position.
Vous confirmez avec moi que le seul stade Mawade Wade ne suffit pas pour dérouler toutes les cinq compétitions sportives sous l’égide de l’ODCAV, je veux parler du championnat zonal, du tournoi du sifflet, de la coupe du Maire de Saint-Louis et celle de Gandon et des phases départementales.
Notre objectif a toujours été de terminer nos compétitions avant l’ouverture des classes. Cet objectif ne pourra jamais être atteint si le département ne dispose pas d’infrastructures suffisantes et propices.
Au moment où l’Etat du Sénégal réhabilite et construit de nouveaux stades, on ferme un stade à Saint-Louis. Et quel Stade ! Celui qui porte le nom d’une illustre personnalité qui a marqué l’histoire politique, judiciaire, sportive du pays ; ne ce reste, à travers son image, on doit penser à immortaliser ce personnage à travers ce stade qui porte son nom.
Par cette occasion, qui m’est offerte, et au nom de l’ODCAV de Saint-Louis, nous invitons Madame le Préfet à revoir sa position, mieux, à entamer un dialogue avec les acteurs du mouvement qui ne sont mus que par un seul et unique intérêt, l’épanouissement de la jeunesse de Saint-Louis au plan sportif, culturel, économique et social.
Notre but n’est point d’être en conflit avec elle, mais qu’elle sache que nous accordons un grand intérêt à la jeunesse qui porte un grand espoir sur ses dirigeants.
Quand à vous, collaborateur, diffamateur, sois armé de courage et surtout de retenue. Revisite un peu vos cours de déontologie professionnelle, si évidement vous avez reçu une formation professionnelle, je l’ignore sincèrement. Cela vous permettrait de revoir votre plume.
Si maintenant vous n’avez reçu aucune formation allant dans ce sens, vous vous approchez de l’ODCAV qui dispose d’un personnel qualifié ayant des compétences avérées dans ce domaine et vous formatera comme « une machine » en panne ou une « clé » remplie de virus.
Al Ousseynou Ka
Chargé de la communication de l’ODCAV de Saint-Louis