1. Le dernier mot à la défense
Au lieu d'un match dans le match entre Lionel Messi et Arjen Robben, on a surtout assisté à une partie d'échecs entre Louis van Gaal et Alejandro Sabella. Les 22 acteurs ont d'ailleurs respecté à la lettre les consignes tactiques de leur entraîneur. Résultat des courses : une rencontre extrêmement fermée - c'est un euphémisme - dans laquelle la défense a chaque fois eu le dernier mot sur l'attaque. Des deux côtés, on a attendu l'erreur de l'adversaire - qui n'est jamais venue. Le salut allait-il venir d'une phase arrêtée? C'était sans compter les nombreux déchets techniques dans le dernier geste. A la fin du temps de jeu réglementaire, Robben et Aguero ont chacun obtenu une balle de match, mais là encore, un pied adverse traînait dans les parages. Bref, ce n'était pas la soirée des attaquants.
2. La griffe Van Gaal
Avec une équipe composée pour plus de la moitié de joueurs issus du championnat néerlandais (Cillessen, Indi, Blind, De Vrij, Wijnaldum), Louis Van Gaal a quand même écrit une belle page de l'histoire du football néerlandais. Le jeu hollandais a beau ne pas plaire à tout le monde, seule la loi des résultats compte. Aux Pays-Bas et ailleurs, personne n'aurait misé un copeck sur les Oranje en demi-finales. C'est surtout la réussite du sélectionneur néerlandais, qui est parvenu à créer un vrai collectif (sans avoir une équipe extraordinaire sur papier) autour de ses deux joueurs vedette, Robben et Van Persie. Ses choix tactiques audacieux (Krul entre les perches en quarts par exemple, une défense quasi 100% Eredivisie) méritent le respect. Plus globalement, on retiendra surtout des Pays-Bas la victoire historique contre l'Espagne (5-1) mais aussi les prestations étincelantes de Robben, plus fort que jamais à 30 ans.
7sur7.be
Au lieu d'un match dans le match entre Lionel Messi et Arjen Robben, on a surtout assisté à une partie d'échecs entre Louis van Gaal et Alejandro Sabella. Les 22 acteurs ont d'ailleurs respecté à la lettre les consignes tactiques de leur entraîneur. Résultat des courses : une rencontre extrêmement fermée - c'est un euphémisme - dans laquelle la défense a chaque fois eu le dernier mot sur l'attaque. Des deux côtés, on a attendu l'erreur de l'adversaire - qui n'est jamais venue. Le salut allait-il venir d'une phase arrêtée? C'était sans compter les nombreux déchets techniques dans le dernier geste. A la fin du temps de jeu réglementaire, Robben et Aguero ont chacun obtenu une balle de match, mais là encore, un pied adverse traînait dans les parages. Bref, ce n'était pas la soirée des attaquants.
2. La griffe Van Gaal
Avec une équipe composée pour plus de la moitié de joueurs issus du championnat néerlandais (Cillessen, Indi, Blind, De Vrij, Wijnaldum), Louis Van Gaal a quand même écrit une belle page de l'histoire du football néerlandais. Le jeu hollandais a beau ne pas plaire à tout le monde, seule la loi des résultats compte. Aux Pays-Bas et ailleurs, personne n'aurait misé un copeck sur les Oranje en demi-finales. C'est surtout la réussite du sélectionneur néerlandais, qui est parvenu à créer un vrai collectif (sans avoir une équipe extraordinaire sur papier) autour de ses deux joueurs vedette, Robben et Van Persie. Ses choix tactiques audacieux (Krul entre les perches en quarts par exemple, une défense quasi 100% Eredivisie) méritent le respect. Plus globalement, on retiendra surtout des Pays-Bas la victoire historique contre l'Espagne (5-1) mais aussi les prestations étincelantes de Robben, plus fort que jamais à 30 ans.
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