Le membre du mouvement « Yen a marre » a pris part à une conférence sur la séparation des pouvoirs organisée samedi par l’amicale des étudiants de l’UFR des Sciences Juridiques et politiques. Pour l’activiste, « l’indépendance des pouvoirs n’existe pas au Sénégal ». « Il n’est pas possible de parler de démocratie sans parler de séparation des pouvoirs », a-t-il dit en dénonçant l’influence de l’exécutif sur le dispositif juridique.
« Nous avons constaté un manque de sérieux et considération à l’endroit des universités, sous le régime de Macky SALL », a-t-il ajouté en invitant les étudiants de l’UGB à ne pas se décourager « même s’il y a un manque de volonté de l’État ».
Kilifeu estime que l’Université Gaston Berger ne perd pas son crédo d’excellence au vu du « sérieux » de ses étudiants avant d’appeler le Gouvernement à ne pas « saboter » ce temple du Savoir.
Le président de l’amicale de SJP appelle la classe politique à faire « un diagnostic » de la démocratie. L’organisation de ce conclave qui associé des acteurs politiques de tous bords, dont l’ancien premier ministre Abdoul MBAYE s’in s’inscrit dans ce cadre. « Depuis 1960 à nos jours, la situation a dégringolé », a regretté El Hadj Baye NDOUR.
« Il est inconcevable que le fait qu’être un opposant soit encore un délit dans ce pays », a-t-il estimé. Il invite le pouvoir et l’opposition à « impliquer les universitaires » pour trouver des pistes de solution.
NDARINFO.COM
« Nous avons constaté un manque de sérieux et considération à l’endroit des universités, sous le régime de Macky SALL », a-t-il ajouté en invitant les étudiants de l’UGB à ne pas se décourager « même s’il y a un manque de volonté de l’État ».
Kilifeu estime que l’Université Gaston Berger ne perd pas son crédo d’excellence au vu du « sérieux » de ses étudiants avant d’appeler le Gouvernement à ne pas « saboter » ce temple du Savoir.
Le président de l’amicale de SJP appelle la classe politique à faire « un diagnostic » de la démocratie. L’organisation de ce conclave qui associé des acteurs politiques de tous bords, dont l’ancien premier ministre Abdoul MBAYE s’in s’inscrit dans ce cadre. « Depuis 1960 à nos jours, la situation a dégringolé », a regretté El Hadj Baye NDOUR.
« Il est inconcevable que le fait qu’être un opposant soit encore un délit dans ce pays », a-t-il estimé. Il invite le pouvoir et l’opposition à « impliquer les universitaires » pour trouver des pistes de solution.
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