Les négociateurs israéliens et palestiniens ont repris mardi au Caire des négociations indirectes "épuisantes" sous la médiation de l'Egypte, au deuxième jour d'un cessez-le-feu de 72 heures dans la bande de Gaza, a-t-on appris auprès de la délégation palestinienne.
Les deux groupes ont quitté leurs résidence et hôtel respectifs pour le quartier général des services de renseignements égyptiens, qui mènent la médiation pour tenter de parvenir à une trêve permanente des combats dans ce nouvel épisode sanglant d'un conflit israélo-palestinien qui dure depuis plus de 65 ans, a constaté un journaliste de l'AFP.
Déclenchés le 8 juillet, les combats dans la bande de Gaza ont fait près de 2.000 morts côté palestinien et 67 côté israélien.
Lundi, sans jamais se rencontrer, les deux parties avaient mené plus de neuf heures de négociations dans les mêmes locaux, les Egyptiens faisant la navette entre les deux pièces où les délégations sont enfermées.
Pas de progrès
"Les divergences sont toujours aussi profondes. Il n'y a pas eu de progrès dans les négociations", a affirmé mardi un haut responsable israélien à propos de cette première journée de pourparlers.
"Les négociations sont difficiles et épuisantes", a expliqué pour sa part au Caire un membre de la délégation palestinienne avant de se rendre au QG des renseignements.
Selon la délégation palestinienne, les Israéliens avaient demandé dès lundi une prolongation du cessez-le-feu de trois jours entré en vigueur dans la nuit et qui expire mercredi à minuit, mais Palestiniens et Egyptiens veulent conclure un accord avant l'expiration de l'actuelle trêve.
Les négociateurs doivent s'entendre sur une formule complexe pour que soient satisfaites des exigences apparemment contradictoires: la sécurité pour les Israéliens, la levée du blocus de la bande de Gaza pour les Palestiniens.
Les deux groupes ont quitté leurs résidence et hôtel respectifs pour le quartier général des services de renseignements égyptiens, qui mènent la médiation pour tenter de parvenir à une trêve permanente des combats dans ce nouvel épisode sanglant d'un conflit israélo-palestinien qui dure depuis plus de 65 ans, a constaté un journaliste de l'AFP.
Déclenchés le 8 juillet, les combats dans la bande de Gaza ont fait près de 2.000 morts côté palestinien et 67 côté israélien.
Lundi, sans jamais se rencontrer, les deux parties avaient mené plus de neuf heures de négociations dans les mêmes locaux, les Egyptiens faisant la navette entre les deux pièces où les délégations sont enfermées.
Pas de progrès
"Les divergences sont toujours aussi profondes. Il n'y a pas eu de progrès dans les négociations", a affirmé mardi un haut responsable israélien à propos de cette première journée de pourparlers.
"Les négociations sont difficiles et épuisantes", a expliqué pour sa part au Caire un membre de la délégation palestinienne avant de se rendre au QG des renseignements.
Selon la délégation palestinienne, les Israéliens avaient demandé dès lundi une prolongation du cessez-le-feu de trois jours entré en vigueur dans la nuit et qui expire mercredi à minuit, mais Palestiniens et Egyptiens veulent conclure un accord avant l'expiration de l'actuelle trêve.
Les négociateurs doivent s'entendre sur une formule complexe pour que soient satisfaites des exigences apparemment contradictoires: la sécurité pour les Israéliens, la levée du blocus de la bande de Gaza pour les Palestiniens.