Lors du dernier remaniement, comme tous les alliés du Président Macky Sall, le parti de Idrissa Seck attendait une bonne part du gâteau. Alors que la nomination de Idrissa Seck au poste de Premier ministre était agitée, Rewmi s’est retrouvé avec deux ministères, en plus du Conseil économique, social et environnemental dirigé par son leader. C’est alors que des jeunes du parti se sont entendus pour secouer le cocotier en menaçant de démissionner de la coalition Benno Bokk Yakaar, afin de faire réagir leur leader. Finalement, ces derniers ont réussi à se faire entendre puisque Idrissa Seck les a reçus pour les rassurer. «Rewmi ne se contente pas de ces deux postes, Idrissa Seck est en négociations pour d’autres nominations dans les directions et les agences», nous souffle notre interlocuteur.
A l’en croire, le leader de Rewmi s’entoure de mystère comme à son habitude ; c’est la raison pour laquelle certains militants qui n’ont pas accès à lui ne saisissent pas toujours la portée de ses décisions. «Il est vrai que des militants ont alimenté un mouvement d’humeur pour demander plus de nominations pour les jeunes, mais ce n’était rien de grave. Ces derniers n’étaient pas la voix officielle du parti, mais leur demande était légitime. C’est la raison pour laquelle Idrissa Seck les a reçus pour les rassurer quant à ses démarches. Tout est rentré dans l’ordre actuellement», dit-il.
Concernant la rumeur sur la nomination de Idrissa Seck au poste de Premier ministre, notre source nous révèle que Rewmi y a cru. Même s’ils n’avaient aucune assurance venant de leur leader, les militants savaient Idrissa Seck assez stratège pour le négocier. Ils étaient donc très excités à l’idée de le savoir Premier ministre. «Nous sommes conscients qu’à notre arrivée à Benno Bokk Yakaar, nous avons trouvé une organisation solide du Président Macky Sall, avec ses alliés comme le Ps et l’Afp avec qui nous ne pouvons pas rivaliser en termes de postes, mais nous estimons que c’est une chance pour le Sénégal de l’avoir à la primature».
Quant à la posture du parti Rewmi sur la question du troisième mandat, notre source affirme que ladite question n’a pas encore été abordée au sein des instances du parti, parce qu’ils attendent qu’elle soit d’abord posée au niveau de la coalition. «Nous sommes conscients qu’il ne reste que 15 mois avant la présidentielle de 2024, mais nous nous gardons d’épiloguer sur le sujet tant que la coalition Benno Bokk Yakaar n’a pas encore posé la question sur la table», dit-il avant de poursuivre : «dans tous les cas, nous avons un parti structuré, avec ses instances : le moment venu, nous prendrons une position dans ce débat. Mais je peux vous assurer que la base aura en ce moment son mot à dire. Ce sera à la base de décider de la ligne de conduite à suivre».
REWMI
A l’en croire, le leader de Rewmi s’entoure de mystère comme à son habitude ; c’est la raison pour laquelle certains militants qui n’ont pas accès à lui ne saisissent pas toujours la portée de ses décisions. «Il est vrai que des militants ont alimenté un mouvement d’humeur pour demander plus de nominations pour les jeunes, mais ce n’était rien de grave. Ces derniers n’étaient pas la voix officielle du parti, mais leur demande était légitime. C’est la raison pour laquelle Idrissa Seck les a reçus pour les rassurer quant à ses démarches. Tout est rentré dans l’ordre actuellement», dit-il.
Concernant la rumeur sur la nomination de Idrissa Seck au poste de Premier ministre, notre source nous révèle que Rewmi y a cru. Même s’ils n’avaient aucune assurance venant de leur leader, les militants savaient Idrissa Seck assez stratège pour le négocier. Ils étaient donc très excités à l’idée de le savoir Premier ministre. «Nous sommes conscients qu’à notre arrivée à Benno Bokk Yakaar, nous avons trouvé une organisation solide du Président Macky Sall, avec ses alliés comme le Ps et l’Afp avec qui nous ne pouvons pas rivaliser en termes de postes, mais nous estimons que c’est une chance pour le Sénégal de l’avoir à la primature».
Quant à la posture du parti Rewmi sur la question du troisième mandat, notre source affirme que ladite question n’a pas encore été abordée au sein des instances du parti, parce qu’ils attendent qu’elle soit d’abord posée au niveau de la coalition. «Nous sommes conscients qu’il ne reste que 15 mois avant la présidentielle de 2024, mais nous nous gardons d’épiloguer sur le sujet tant que la coalition Benno Bokk Yakaar n’a pas encore posé la question sur la table», dit-il avant de poursuivre : «dans tous les cas, nous avons un parti structuré, avec ses instances : le moment venu, nous prendrons une position dans ce débat. Mais je peux vous assurer que la base aura en ce moment son mot à dire. Ce sera à la base de décider de la ligne de conduite à suivre».
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