Chers concitoyens après avoir fait des investigations et consulté plusieurs structures étatiques c’est avec un cœur rempli d’émotion et de regrets que nous décrions les mesures prises par le ministre de l’éducation nationale pour sanctionner des élèves qui ont fait un concours et réussi dans les règles de l’art.
Ainsi nous l’avons écouté religieusement parler : expliquer la nature du problème qu’il assimile à des cas de fraude et essayer de se justifier sans convaincre ; essayer de rejeter la faute dudit problème sur de pauvres victimes qui après cinq mois d’instance apprentissage sont menacés de renvoi au chômage pour satisfaire des ambitions purement politiques et injustifiées.
Il faut reconnaître que beaucoup parmi les élèves-maitres ont abandonné leurs études universitaire pour embrasser ce beau métier et servir dignement leur pays ; d’autres un emploi et d’autres tout droit sortis du chômage.
S’il y’a un problème latent c’est au niveau de sa gestion car après avoir signé et certifié le mérite des candidats ; il se permet aujourd’hui de fragiliser le système. Une question aussi sensible mériterait plus de sérieux et de diplomatie en lieu et place d’une légèreté sans précédente.
En effet ; le ministre nous propose de remplacer ces victimes par la liste d’attente. Dans quel pays avons-nous vu une liste d’attente qui dépasse 690 personnes ; rien ne nous prouve que la future liste sanctionnera le mérite. Par conséquent nous sommes foncièrement contre cette formule anti-démocratique.
Nous osons croire jusqu’à preuve du contraire que ces EFIENS indexés sont méritants et ont pour la grande majorité la licence ou la maitrise qui témoigne du niveau d’étude qui est supérieur à la moyenne. L’argument selon lequel il y’aurait des EFIENS qui ne savent ni lire ni écrire n’est pas fondé et démontre largement de la mauvaise foi du ministre à vouloir salir l’image de cette génération.
Nous soutenons aussi que le seul responsable dans cette affaire est le ministre Sérigne Mbaye THIAM qui a fait preuve d’incompétence avérée et doit s’assumer en déposant sa lettre de démission pour une meilleure prise en charge du problème.
Ainsi nous proposons à l’Etat de revenir sur cette décision et de donner une seconde chance à ses futurs enseignants qui devront montrer leur compétence au moment de l’examen de sortie.
Le coordonnateur
FALL Momar
Ainsi nous l’avons écouté religieusement parler : expliquer la nature du problème qu’il assimile à des cas de fraude et essayer de se justifier sans convaincre ; essayer de rejeter la faute dudit problème sur de pauvres victimes qui après cinq mois d’instance apprentissage sont menacés de renvoi au chômage pour satisfaire des ambitions purement politiques et injustifiées.
Il faut reconnaître que beaucoup parmi les élèves-maitres ont abandonné leurs études universitaire pour embrasser ce beau métier et servir dignement leur pays ; d’autres un emploi et d’autres tout droit sortis du chômage.
S’il y’a un problème latent c’est au niveau de sa gestion car après avoir signé et certifié le mérite des candidats ; il se permet aujourd’hui de fragiliser le système. Une question aussi sensible mériterait plus de sérieux et de diplomatie en lieu et place d’une légèreté sans précédente.
En effet ; le ministre nous propose de remplacer ces victimes par la liste d’attente. Dans quel pays avons-nous vu une liste d’attente qui dépasse 690 personnes ; rien ne nous prouve que la future liste sanctionnera le mérite. Par conséquent nous sommes foncièrement contre cette formule anti-démocratique.
Nous osons croire jusqu’à preuve du contraire que ces EFIENS indexés sont méritants et ont pour la grande majorité la licence ou la maitrise qui témoigne du niveau d’étude qui est supérieur à la moyenne. L’argument selon lequel il y’aurait des EFIENS qui ne savent ni lire ni écrire n’est pas fondé et démontre largement de la mauvaise foi du ministre à vouloir salir l’image de cette génération.
Nous soutenons aussi que le seul responsable dans cette affaire est le ministre Sérigne Mbaye THIAM qui a fait preuve d’incompétence avérée et doit s’assumer en déposant sa lettre de démission pour une meilleure prise en charge du problème.
Ainsi nous proposons à l’Etat de revenir sur cette décision et de donner une seconde chance à ses futurs enseignants qui devront montrer leur compétence au moment de l’examen de sortie.
Le coordonnateur
FALL Momar