La gouvernance brutale de Macky Sall se traduit depuis plusieurs jours par une féroce répression contre les étudiants, notamment ceux de Saint-Louis », lit-on dans le communiqué du FRN qui revient sur le meurtre de l’étudiant Fallou Sène.
Le document de relever : «Le Sénégal commence à vivre dans sa chair et dans son sang les conséquences désastreuses de la politique de Macky Sall qui a vidé les caisses de l’Etat, et appauvri les populations, pour le seul bénéfice d’un clan familial et des prédateurs étrangers qu’il sert».
Selon eux, «cette politique conduit aujourd’hui à l’accumulation de plus de 800 milliards de francs CFA d’arriérés intérieurs, ce qui se traduit, entre autres, par le non-paiement à temps des bourses des étudiants, la non commercialisation de la production d’arachides, le non-paiement des indemnités des personnels de l’éducation et de la santé, l’asphyxie financière des entreprises privées nationales, etc».
Et, ajoutent-il, la situation ne pourra que s’empirer d’autant plus que le chef de l’Etat ne connait pas les priorités. C’est pourquoi, concluent-ils, la seule solution est d’œuvrer pour son départ dès les prochaines joutes électorales de 2019.
PRESSAFRIK
Le document de relever : «Le Sénégal commence à vivre dans sa chair et dans son sang les conséquences désastreuses de la politique de Macky Sall qui a vidé les caisses de l’Etat, et appauvri les populations, pour le seul bénéfice d’un clan familial et des prédateurs étrangers qu’il sert».
Selon eux, «cette politique conduit aujourd’hui à l’accumulation de plus de 800 milliards de francs CFA d’arriérés intérieurs, ce qui se traduit, entre autres, par le non-paiement à temps des bourses des étudiants, la non commercialisation de la production d’arachides, le non-paiement des indemnités des personnels de l’éducation et de la santé, l’asphyxie financière des entreprises privées nationales, etc».
Et, ajoutent-il, la situation ne pourra que s’empirer d’autant plus que le chef de l’Etat ne connait pas les priorités. C’est pourquoi, concluent-ils, la seule solution est d’œuvrer pour son départ dès les prochaines joutes électorales de 2019.
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