L'ancien directeur général de Dakar Dem Dikk, Me Moussa Diop, a fermement réfuté les conclusions du rapport de la Cour des comptes portant sur la gestion de la société de transport public de 2017 à 2020, lors d'une conférence de presse organisée ce mercredi 1er mai 2024.
Devant les nombreux journalistes présents à son domicile de Liberté 6, l'avocat a balayé d'un revers de main les accusations de malversations financières à son encontre. "Je dois préciser que je n'ai pas peur du président Macky Sall, mais je le respecte. J'ai toujours respecté les textes et règlements de ce pays", a-t-il martelé.
Moussa Diop a déclaré avoir agi "dans la plus grande transparence" durant son mandat à la tête de DDD. "Un voleur qui circule dans le pays avec une voiture volée depuis quatre ans, ça c'est grave", a-t-il ironisé en référence à son véhicule de fonction qu'il utilise toujours.
Interrogé sur les augmentations salariales accordées sans l'approbation du conseil d'administration, comme le souligne le rapport, l'avocat a soutenu que celle-ci visaient à "maintenir la paix sociale" au sein de l'entreprise. "Le conseil d'administration a salué cette mesure", a-t-il assuré.
Cependant, la Cour des comptes affirme n'avoir "aucune trace" d'une délibération du conseil sur le sujet. Une divergence qui jette le trouble sur les procédures suivies à l'époque.
Moussa Diop a conclu en mettant en garde contre une "mauvaise information" des médias et en réaffirmant sa "confiance dans la vérité".
Devant les nombreux journalistes présents à son domicile de Liberté 6, l'avocat a balayé d'un revers de main les accusations de malversations financières à son encontre. "Je dois préciser que je n'ai pas peur du président Macky Sall, mais je le respecte. J'ai toujours respecté les textes et règlements de ce pays", a-t-il martelé.
Moussa Diop a déclaré avoir agi "dans la plus grande transparence" durant son mandat à la tête de DDD. "Un voleur qui circule dans le pays avec une voiture volée depuis quatre ans, ça c'est grave", a-t-il ironisé en référence à son véhicule de fonction qu'il utilise toujours.
Interrogé sur les augmentations salariales accordées sans l'approbation du conseil d'administration, comme le souligne le rapport, l'avocat a soutenu que celle-ci visaient à "maintenir la paix sociale" au sein de l'entreprise. "Le conseil d'administration a salué cette mesure", a-t-il assuré.
Cependant, la Cour des comptes affirme n'avoir "aucune trace" d'une délibération du conseil sur le sujet. Une divergence qui jette le trouble sur les procédures suivies à l'époque.
Moussa Diop a conclu en mettant en garde contre une "mauvaise information" des médias et en réaffirmant sa "confiance dans la vérité".