Le Syndicat autonome des Enseignants du supérieur (Saes) a indexé le logiciel utilisé par le Ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche (Mesr) comme la source de tous les problèmes notés dans les orientations rendues publiques au début du mois de novembre. Face à la presse hier vendredi, Seydi Ababacar Ndiaye et Cie ont estimé que le logiciel n’est pas renseigné.
«Le logiciel oriente de façon aléatoire les nouveaux bacheliers. Un élève qui a eu le baccalauréat avec la mention assez bien. Il a 14 en HG, 14 en français et 12 en philosophie. Il demande à être orienté en Géographie, il est balancé en santé communautaire à Bambey». Le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) indexe ainsi le logiciel utilisé par le Ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche (Mesr) dans le cadre des inscriptions et des orientations des nouveaux bacheliers. C’était hier, vendredi, lors d’un point de presse dont le prétexte était les violences notées avant-hier jeudi dont l’une des conséquences c’est le saccage des locaux du Rectorat.
«Nous avons quelques cas de bacheliers orientés de façon aléatoire probablement parce que le logiciel n’est pas assez renseigné», souligne Seydi Ababacar Ndiaye dans sa déclaration liminaire.
Si le Saes se réjouit de la centralisation de l’inscription en ligne des nouveaux bacheliers évitant ainsi les doublons et autres contestations, il n’en demeure pas moins que « l’admission dans les structures doit rester une prérogative de celles-ci».
Ainsi, on voit, selon M. Ndiaye, «des bacheliers de la série S2 qui sont perdus là où on nous parle des fameux STEMS».
Les inscriptions des nouveaux bacheliers ont été bouclées depuis avant-hier, jeudi. L’arrêté fixant le quota des bacheliers a un total de 29 110 nouveaux bacheliers répartis ainsi : l’Ucad va recevoir 21110 nouveaux bacheliers de l’année 2013, l’Ugb doit accueillir 3 000 bacheliers et les autres universités, notamment Thiès, Assane Seck de Ziguinchor et Bambey recevront chacune 1 000 bacheliers.
Ces chiffres avançés par le directeur des affaires académiques et juridiques à la direction générale de l'Enseignement supérieur, Babacar Guèye, pose déjà la question de la capacité d’accueil de certains établissements, notamment à Saint Louis, Ziguinchor et Bambey.
Pour le Saes, «il faudra s’attendre à ce que les taux de réussite soient affectés et même la qualité de ceux qui auront la chance de passer entre les mailles des filets laisser à désirer».
Pour éviter toute discorde entre la tutelle et la communauté universitaire de façon générale, le syndicat prône le dialogue et la concertation pour sortir de cette ambiance qu’il juge « délétère ».
En ce qui concerne les frais d’inscription, pour rappel, les étudiants de la licence 1, 2 et 3 devront débourser respectivement 25 000 F Cfa, 30 000F Cfa et 35 000F Cfa. Pour l’inscription en Master 1, il faudra 50 000 F Cfa et 60.000 F Cfa en Master 2. Les doctorants donneront 75 000F Cfa francs.
Pour la commission ad hoc, ces frais d’inscription tiennent compte du pouvoir d’achat des familles, des étudiants et des engagements de l’Etat au niveau de l’Uemoa. Sans oublier la limitation des bourses désormais basée sur le mérite. A noter que le Saes lors de ce point de presse à demander la mise en place d’une police de l’Université
Sudonline.sn
«Le logiciel oriente de façon aléatoire les nouveaux bacheliers. Un élève qui a eu le baccalauréat avec la mention assez bien. Il a 14 en HG, 14 en français et 12 en philosophie. Il demande à être orienté en Géographie, il est balancé en santé communautaire à Bambey». Le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) indexe ainsi le logiciel utilisé par le Ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche (Mesr) dans le cadre des inscriptions et des orientations des nouveaux bacheliers. C’était hier, vendredi, lors d’un point de presse dont le prétexte était les violences notées avant-hier jeudi dont l’une des conséquences c’est le saccage des locaux du Rectorat.
«Nous avons quelques cas de bacheliers orientés de façon aléatoire probablement parce que le logiciel n’est pas assez renseigné», souligne Seydi Ababacar Ndiaye dans sa déclaration liminaire.
Si le Saes se réjouit de la centralisation de l’inscription en ligne des nouveaux bacheliers évitant ainsi les doublons et autres contestations, il n’en demeure pas moins que « l’admission dans les structures doit rester une prérogative de celles-ci».
Ainsi, on voit, selon M. Ndiaye, «des bacheliers de la série S2 qui sont perdus là où on nous parle des fameux STEMS».
Les inscriptions des nouveaux bacheliers ont été bouclées depuis avant-hier, jeudi. L’arrêté fixant le quota des bacheliers a un total de 29 110 nouveaux bacheliers répartis ainsi : l’Ucad va recevoir 21110 nouveaux bacheliers de l’année 2013, l’Ugb doit accueillir 3 000 bacheliers et les autres universités, notamment Thiès, Assane Seck de Ziguinchor et Bambey recevront chacune 1 000 bacheliers.
Ces chiffres avançés par le directeur des affaires académiques et juridiques à la direction générale de l'Enseignement supérieur, Babacar Guèye, pose déjà la question de la capacité d’accueil de certains établissements, notamment à Saint Louis, Ziguinchor et Bambey.
Pour le Saes, «il faudra s’attendre à ce que les taux de réussite soient affectés et même la qualité de ceux qui auront la chance de passer entre les mailles des filets laisser à désirer».
Pour éviter toute discorde entre la tutelle et la communauté universitaire de façon générale, le syndicat prône le dialogue et la concertation pour sortir de cette ambiance qu’il juge « délétère ».
En ce qui concerne les frais d’inscription, pour rappel, les étudiants de la licence 1, 2 et 3 devront débourser respectivement 25 000 F Cfa, 30 000F Cfa et 35 000F Cfa. Pour l’inscription en Master 1, il faudra 50 000 F Cfa et 60.000 F Cfa en Master 2. Les doctorants donneront 75 000F Cfa francs.
Pour la commission ad hoc, ces frais d’inscription tiennent compte du pouvoir d’achat des familles, des étudiants et des engagements de l’Etat au niveau de l’Uemoa. Sans oublier la limitation des bourses désormais basée sur le mérite. A noter que le Saes lors de ce point de presse à demander la mise en place d’une police de l’Université
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