Des fusillades ont éclaté vendredi soir dans le Xe et le XIe arrondissement de Paris, près de la rue Bichat, puis près du Bataclan, faisant 18 morts selon la préfecture de police, et des dizaines blessés. Un journaliste de Libération, sur place, évoque un «cauchemar». La police est sur les lieux. Boulevard Voltaire, plusieurs coups de feu ont été entendus. Des témoins évoquent cinq à six tireurs, non cagoulés.
Au sujet de l'attaque du Carillon, notre journaliste sur place évoque deux tireurs, au moins, qui auraient commencé à tirer dans le bar, avant de prendre la fuite. Celle-ci aurait eu lieu vers 21h20, quand un homme a tiré à l'arme automatique deux salves, l'autre visant «le Petit Cambodge», en face. «Ça a duré terriblement longtemps» raconte un témoin. «Il a levé sa kalachnikov, il a tiré dans le Carillon. On entendait que les gens crier, on n'entendait pas le tireur, il y a une dizaine de corps à terre».
Au Bataclan, la salle de concert, où jouaient les Eagles of Death Metal, une «grosse détonation» ainsi qu’une vingtaine de coups de feu ont été entendus par des témoins sur place. Des tireurs seraient restés sur place, selon l'AFP qui évoque une prise d'otages en cours. Une quinzaine de policiers supplémentaires viennent d'arriver sur les lieux, armés de fusils à pompe, selon l'un de nos journalistes sur place.
D’autres rapportaient, au même moment, que deux hommes avaient ouvert le feu rue de Charonne sur une terrasse de café, précisant : «On a entendu plus de 100 balles». L’attaque visait le coin de la rue Charonne et de la rue Faidherbe.
Par ailleurs, deux ou trois explosions ont retenti presque au même moment près du Stade de France, dans deux snacks, sans que l'on sache pour l'instant si ces deux évènements sont liés. Le stade a été bouclé. François Hollande était sur place, il a quitté la tribune pour rejoindre une cellule de crise ouverte place Beauvau, au ministère de l’Intérieur, où il suit actuellement la situation en présence du Premier ministre Manuel Valls, et du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
Le Stade est en cours d'évacuation par les tribunes sud, nord et ouest.
Libération et 7sur7.be
Au sujet de l'attaque du Carillon, notre journaliste sur place évoque deux tireurs, au moins, qui auraient commencé à tirer dans le bar, avant de prendre la fuite. Celle-ci aurait eu lieu vers 21h20, quand un homme a tiré à l'arme automatique deux salves, l'autre visant «le Petit Cambodge», en face. «Ça a duré terriblement longtemps» raconte un témoin. «Il a levé sa kalachnikov, il a tiré dans le Carillon. On entendait que les gens crier, on n'entendait pas le tireur, il y a une dizaine de corps à terre».
Au Bataclan, la salle de concert, où jouaient les Eagles of Death Metal, une «grosse détonation» ainsi qu’une vingtaine de coups de feu ont été entendus par des témoins sur place. Des tireurs seraient restés sur place, selon l'AFP qui évoque une prise d'otages en cours. Une quinzaine de policiers supplémentaires viennent d'arriver sur les lieux, armés de fusils à pompe, selon l'un de nos journalistes sur place.
D’autres rapportaient, au même moment, que deux hommes avaient ouvert le feu rue de Charonne sur une terrasse de café, précisant : «On a entendu plus de 100 balles». L’attaque visait le coin de la rue Charonne et de la rue Faidherbe.
Par ailleurs, deux ou trois explosions ont retenti presque au même moment près du Stade de France, dans deux snacks, sans que l'on sache pour l'instant si ces deux évènements sont liés. Le stade a été bouclé. François Hollande était sur place, il a quitté la tribune pour rejoindre une cellule de crise ouverte place Beauvau, au ministère de l’Intérieur, où il suit actuellement la situation en présence du Premier ministre Manuel Valls, et du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.
Le Stade est en cours d'évacuation par les tribunes sud, nord et ouest.
Libération et 7sur7.be