Une semaine après les revendications des étudiants pour les bourses, l’Université Gaston Berger a encore vécu une journée de contestation.
Cette fois-ci, ce sont les étudiants de l’UFR Science et Technique des Activités Physique et Sportives (STAPS) qui ont battu le macadam pour dénoncer la situation difficile et incertaine qu’ils vivent depuis quelques temps. Et avec l’annonce du recrutement prochain de 5000 enseignants, ces étudiants qui ont déjà leurs diplômes demandent à l’État du Sénégal de recruter les 306 diplômés de l’UFR STAPS qui sont déjà disponibles pour enseigner.
« Notre marche d’aujourd’hui, c’est pour dénoncer l’injustice que nous vivons depuis quelques années. Les étudiants de l’UFR SEFS section STAPS ont fini de faire une formation de trois ans au cours de laquelle on a fait des stages partout rien que pour avoir plus d’expérience pour pouvoir enseigner. Malgré tout cela, depuis 6 ans, nous sommes là sans rien faire.
Ces derniers ont entendu le président de la République Macky et son ministre de l’Enseignement (supérieur) parler de recrutement. Aujourd’hui, nous pensons que s’ils cherchent des enseignants à recruter, les étudiants de l’UFR STAPS qui ont déjà leurs diplômes doivent être prioritaires », a soutenu leur porte-parole Michel Barthelemy Diedhiou.
Cette fois-ci, ce sont les étudiants de l’UFR Science et Technique des Activités Physique et Sportives (STAPS) qui ont battu le macadam pour dénoncer la situation difficile et incertaine qu’ils vivent depuis quelques temps. Et avec l’annonce du recrutement prochain de 5000 enseignants, ces étudiants qui ont déjà leurs diplômes demandent à l’État du Sénégal de recruter les 306 diplômés de l’UFR STAPS qui sont déjà disponibles pour enseigner.
« Notre marche d’aujourd’hui, c’est pour dénoncer l’injustice que nous vivons depuis quelques années. Les étudiants de l’UFR SEFS section STAPS ont fini de faire une formation de trois ans au cours de laquelle on a fait des stages partout rien que pour avoir plus d’expérience pour pouvoir enseigner. Malgré tout cela, depuis 6 ans, nous sommes là sans rien faire.
Ces derniers ont entendu le président de la République Macky et son ministre de l’Enseignement (supérieur) parler de recrutement. Aujourd’hui, nous pensons que s’ils cherchent des enseignants à recruter, les étudiants de l’UFR STAPS qui ont déjà leurs diplômes doivent être prioritaires », a soutenu leur porte-parole Michel Barthelemy Diedhiou.
Avec Seneweb