« Il faut que les jeunes acceptent de sortir des maisons et affronter la réalité. Le défaut des jeunes Saint-Louisiens, c’est qu’ils ont tendance à vouloir s’éterniser dans les concessions familiales et adosser leurs charges personnelles aux parents et proches. Cet esprit n’est compatible au développement», dit-il.
« Depuis 14 ans, je suis vendeur de chaussures. J’ai tenté, à trois reprises de quitter le pays sans succès. Je me suis dit que mon destin se trouvait ici. J’ai décidé de rester et de me battre. Je me suis engagé dans ce métier et je gagne bien ma vie. Voilà 9 ans que j’ai quitté le domicile familial. Je ne songe plus à sortir du pays», explique « Cut », en train de nettoyer des scandales « réservés » par une haute personnalité de la ville.
« Je sais que les jeunes de ma génération considèrent mon activité comme un sous-métier. Mais moi, je crois à ce que je fais et je crois en moi-même. Le complexe et l’avancement ne riment pas », ajoute-t-il.
« Au retour des fêtes de Tabaski et Korité, des gens me demandent si j’étais parti au village pensant que je viens des zones environnantes de la ville alors que je suis né ici, dans l’ile. Il faut déconstruire ce mythique », lâche le jeune débrouillard.
Grand Footballeur, El Hadji était connu dans l’ile pour ses talents, prouesses et performances physiques. Son sobriquet de «Cut » lui vient d’ailleurs de ses trois fractures en matchs de championnat et Navetanes.
Conscient de la complexité de ce métier, aujourd’hui, il fait preuve d’une grande prudence et d’une large ouverture. « On peut nous vendre une chaussure volée. Si on le prend, on risque d’avoir de problèmes. On rencontre toutes sortes de tempéraments et de personnalités dans ce métier», confie El Hadji qui recevait Ndarinfo.
Aujourd’hui, le jeune Saint-Louisien n’attend pas la matérialisation d’une promesse étatique. Il rêve fortement d’ouvrir son magasin et de participer à l’émergence de sa ville NDAR. Mais aussi pour pérenniser et sécuriser ses activités.
Pour cela, il faut le soutien de bonnes volontés. Dévoué, motivé, patient et travailleur, « Cut » est un modèle d’engagement à soutenir. El Hadji Ndour est joignable au 77 532 77 08
NDARINFO
« Depuis 14 ans, je suis vendeur de chaussures. J’ai tenté, à trois reprises de quitter le pays sans succès. Je me suis dit que mon destin se trouvait ici. J’ai décidé de rester et de me battre. Je me suis engagé dans ce métier et je gagne bien ma vie. Voilà 9 ans que j’ai quitté le domicile familial. Je ne songe plus à sortir du pays», explique « Cut », en train de nettoyer des scandales « réservés » par une haute personnalité de la ville.
« Je sais que les jeunes de ma génération considèrent mon activité comme un sous-métier. Mais moi, je crois à ce que je fais et je crois en moi-même. Le complexe et l’avancement ne riment pas », ajoute-t-il.
« Au retour des fêtes de Tabaski et Korité, des gens me demandent si j’étais parti au village pensant que je viens des zones environnantes de la ville alors que je suis né ici, dans l’ile. Il faut déconstruire ce mythique », lâche le jeune débrouillard.
Grand Footballeur, El Hadji était connu dans l’ile pour ses talents, prouesses et performances physiques. Son sobriquet de «Cut » lui vient d’ailleurs de ses trois fractures en matchs de championnat et Navetanes.
Conscient de la complexité de ce métier, aujourd’hui, il fait preuve d’une grande prudence et d’une large ouverture. « On peut nous vendre une chaussure volée. Si on le prend, on risque d’avoir de problèmes. On rencontre toutes sortes de tempéraments et de personnalités dans ce métier», confie El Hadji qui recevait Ndarinfo.
Aujourd’hui, le jeune Saint-Louisien n’attend pas la matérialisation d’une promesse étatique. Il rêve fortement d’ouvrir son magasin et de participer à l’émergence de sa ville NDAR. Mais aussi pour pérenniser et sécuriser ses activités.
Pour cela, il faut le soutien de bonnes volontés. Dévoué, motivé, patient et travailleur, « Cut » est un modèle d’engagement à soutenir. El Hadji Ndour est joignable au 77 532 77 08
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