"La France doit avoir des systèmes de contrôle qui ne doivent pas être simplement des contrôles aériens mais aussi des contrôles sur tous les modes de transports, même maritimes. C'est ce que nous allons mettre en place", a déclaré M. Hollande lors d'une conférence de presse au sommet européen.
"Ni catastrophisme ni inaction"
Le président français a appelé à ne "tomber ni dans le catastrophisme ni dans l'inaction" face à cette épidémie. "Le catastrophisme produit la panique, c'est inutile d'autant qu'on peut guérir de l'Ebola, on doit guérir de l'Ebola en Afrique et partout dans le monde, mais il ne faut pas non plus tomber dans l'inaction", a-t-il ajouté soulignant qu'"une épidémie ça progresse à un rythme géométrique".
Europe
Sur le plan européen, il a estimé que l'UE doit "non seulement apporter des financements, non seulement mettre des soignants en capacité d'intervenir mais aussi des moyens d'évacuation".
Guinée
M. Hollande a rappelé que la France était mobilisée en Guinée où elle doit ouvrir un troisième centre de traitement ainsi qu'un autre dédié spécifiquement aux "soignants guinéens". L'épidémie d'Ebola a fait près de 4.900 morts sur près de 10.000 cas enregistrés et la maladie "continue à progresser de façon exponentielle" au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Premiers cas à New York et au Mali
Un premier cas d'Ebola a été enregistré jeudi à New-York, concernant un médecin revenu de Guinée où il luttait contre le virus dans les rangs de Médecins sans Frontières. Un premier cas a aussi été identifié au Mali, en provenance de la Guinée voisine.
Aucun cas positif en France
En France, selon l'Institut français de veille sanitaire (InVS), sur un total de 480 "signalements" pour Ebola répertoriés depuis juin en France, 17 cas ont été classés comme "cas possibles", mais aucun d'entre eux ne s'est avéré positif.
"Ni catastrophisme ni inaction"
Le président français a appelé à ne "tomber ni dans le catastrophisme ni dans l'inaction" face à cette épidémie. "Le catastrophisme produit la panique, c'est inutile d'autant qu'on peut guérir de l'Ebola, on doit guérir de l'Ebola en Afrique et partout dans le monde, mais il ne faut pas non plus tomber dans l'inaction", a-t-il ajouté soulignant qu'"une épidémie ça progresse à un rythme géométrique".
Europe
Sur le plan européen, il a estimé que l'UE doit "non seulement apporter des financements, non seulement mettre des soignants en capacité d'intervenir mais aussi des moyens d'évacuation".
Guinée
M. Hollande a rappelé que la France était mobilisée en Guinée où elle doit ouvrir un troisième centre de traitement ainsi qu'un autre dédié spécifiquement aux "soignants guinéens". L'épidémie d'Ebola a fait près de 4.900 morts sur près de 10.000 cas enregistrés et la maladie "continue à progresser de façon exponentielle" au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Premiers cas à New York et au Mali
Un premier cas d'Ebola a été enregistré jeudi à New-York, concernant un médecin revenu de Guinée où il luttait contre le virus dans les rangs de Médecins sans Frontières. Un premier cas a aussi été identifié au Mali, en provenance de la Guinée voisine.
Aucun cas positif en France
En France, selon l'Institut français de veille sanitaire (InVS), sur un total de 480 "signalements" pour Ebola répertoriés depuis juin en France, 17 cas ont été classés comme "cas possibles", mais aucun d'entre eux ne s'est avéré positif.