Sa demeure à trois portes, toutes ouvertes sur des principales rues de Guet-Ndar, est un patrimoine qui matérialise la dimension de ce grand notable de La langue de Barbarie, qui par son action, a inscrit en lettre d’or, l’histoire de la ville.
Dans ce château dressé à l’entrée de ce quartier populeux, une mosquée y est dressée, au milieu. On dit que c’est Serigne Abdoul SY « DABAKH » qui avait dirigé la prière de l’inauguration de cette Maison de DIEU que le Saint avait érigé en hommage à la prière.
Grand érudit, bien fait de la science coranique, de la jurisprudence et de Sira (tradition prophétique), El Hadji Mawa SENE était le symbole de l’ouverture religieuse et de la fraternité confrérique. En effet, ses relations entre guides religieux khadres, Tidjanes, mourides et Layennes n’avaient pas connu de clivages.
Respecté pour le respect qu’il avait voué à son terroir GUET-NDAR, il était un bienfaiteur à la rigueur et au charisme débordant, selon les témoignages de ses petits fils interrogés par NdarInfo.
Un jour, alors qu’il était en pèlerinage à la Mecque et à quelques centimètres de la KAABA, il sera désigné pour participer à changement du revêtement de la Mecque. L’homme traversa les quatre coins de ce sanctuaire. Pour honorer son dévouement, un morceau de l’étoffe de l’ancien « habit » de la KAABA lui sera remis.
Ce trésor est encore gardé par son héritage qui perpétue l’engagement désintéressé et l’œuvre généreuse d’un digne fils de Ndar.
NDARINFO.COM
Dans ce château dressé à l’entrée de ce quartier populeux, une mosquée y est dressée, au milieu. On dit que c’est Serigne Abdoul SY « DABAKH » qui avait dirigé la prière de l’inauguration de cette Maison de DIEU que le Saint avait érigé en hommage à la prière.
Grand érudit, bien fait de la science coranique, de la jurisprudence et de Sira (tradition prophétique), El Hadji Mawa SENE était le symbole de l’ouverture religieuse et de la fraternité confrérique. En effet, ses relations entre guides religieux khadres, Tidjanes, mourides et Layennes n’avaient pas connu de clivages.
Respecté pour le respect qu’il avait voué à son terroir GUET-NDAR, il était un bienfaiteur à la rigueur et au charisme débordant, selon les témoignages de ses petits fils interrogés par NdarInfo.
Un jour, alors qu’il était en pèlerinage à la Mecque et à quelques centimètres de la KAABA, il sera désigné pour participer à changement du revêtement de la Mecque. L’homme traversa les quatre coins de ce sanctuaire. Pour honorer son dévouement, un morceau de l’étoffe de l’ancien « habit » de la KAABA lui sera remis.
Ce trésor est encore gardé par son héritage qui perpétue l’engagement désintéressé et l’œuvre généreuse d’un digne fils de Ndar.
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