En marge de la rencontre avec les journalistes, le CAS-UGB (Collectif des Acteurs pour le Sauvetage de l’U.G.B) a tenu une conférence de presse aujourd’hui vers les coups de 15H30 à la salle des Actes de l’U.F.R LSH pour se prononcer sur la crise universitaire qui a secoué ces dernières semaines l’Enseignement Supérieur.
Ainsi, son porte-parole à l’occurrence M. Malamine DIOUF a rappelé brièvement le contexte de création du dit collectif qui est né aux lendemains des réformes de l’enseignement supérieur ainsi que les différents acteurs qui le composent à savoir le SAES- U.G.B, la CESL, le SYNTHUS, le M23, la société civile…et qui ont tous pour but la sauvegarde de label U.G.B ainsi que le rétablissement de l’autonomie des universités galvaudées par la violation des franchises universitaires.
Au professeur, "de signaler que l’université n’est guère ce secteur qu’on peut gouverner ni forcer. Il convient aussi de noter que la république du savoir a besoin de paix, de stabilité."
Par ailleurs, M. DIOUF affirme fermement que le collectif réclame ce qui fonde leur liberté et leur droit, compte mobiliser tous les autres segments de la société et étendre leur terrain d’action.
Le porte-parole fustige l’attitude du ministre de l’enseignement, M. Mary Teuw NIANE concernant la négation des franchises universitaires car les décisions à portée pédagogique doivent venir de la base pour arriver au sommet et non le contraire.
Sur ce, le collectif se dit plus que jamais déterminé à combattre ces injustices, coudes et poings liés pour restaurer à l’université sa splendeur d’antan.
Wolimata MBOW
Ainsi, son porte-parole à l’occurrence M. Malamine DIOUF a rappelé brièvement le contexte de création du dit collectif qui est né aux lendemains des réformes de l’enseignement supérieur ainsi que les différents acteurs qui le composent à savoir le SAES- U.G.B, la CESL, le SYNTHUS, le M23, la société civile…et qui ont tous pour but la sauvegarde de label U.G.B ainsi que le rétablissement de l’autonomie des universités galvaudées par la violation des franchises universitaires.
Au professeur, "de signaler que l’université n’est guère ce secteur qu’on peut gouverner ni forcer. Il convient aussi de noter que la république du savoir a besoin de paix, de stabilité."
Par ailleurs, M. DIOUF affirme fermement que le collectif réclame ce qui fonde leur liberté et leur droit, compte mobiliser tous les autres segments de la société et étendre leur terrain d’action.
Le porte-parole fustige l’attitude du ministre de l’enseignement, M. Mary Teuw NIANE concernant la négation des franchises universitaires car les décisions à portée pédagogique doivent venir de la base pour arriver au sommet et non le contraire.
Sur ce, le collectif se dit plus que jamais déterminé à combattre ces injustices, coudes et poings liés pour restaurer à l’université sa splendeur d’antan.
Wolimata MBOW