La majorité sortante et l’opposition ne parlent pas le même langage, relativement au taux de participation enregistré lors des Législatives de 2017. Tandis qu’une certaine presse, citant des sources officielles, estime ledit taux à 54%, le chargé de communication du Parti démocratique sénégalais sur le plateau de « Dakaractu » face au ministre-délégué Pape Gorgui Ndong dément et revoit ce pourcentage à la baisse.
« Il n’y a pas eu d’élection au Sénégal. Ce qu’il y a eu, c’est une mascarade. Une élection obéit à un processus et à des règles et ne se réduit pas au jour du scrutin. Il y a eu une vaste mise en scène. Et si on suit le processus, il y a au moins douze étapes, liées à la transparence des élections, qui ont été ratées. Les Sénégalais n’ont pas voté. Trois millions de Sénégalais n’ont pas voté. Le taux de participation ne dépasse pas 45 % », a asséné M. Faye.
Sur un autre registre, le responsable du Parti démocratique sénégalais à St-Louis a révélé au sujet de certains candidats à la députation suspectés d’être de mèche avec Benno Bokk Yakaar : « Il y a eu 47 listes, dont une trentaine a été financée par le pouvoir. Ce sont des gens qu’on connait et pour la plupart, ils n’ont pas les moyens de payer la location ».
Il a aussi fait remarquer que les observateurs du scrutin ont relevé que dans 90 bureaux, le vote a démarré tardivement.
DAKARACTU
« Il n’y a pas eu d’élection au Sénégal. Ce qu’il y a eu, c’est une mascarade. Une élection obéit à un processus et à des règles et ne se réduit pas au jour du scrutin. Il y a eu une vaste mise en scène. Et si on suit le processus, il y a au moins douze étapes, liées à la transparence des élections, qui ont été ratées. Les Sénégalais n’ont pas voté. Trois millions de Sénégalais n’ont pas voté. Le taux de participation ne dépasse pas 45 % », a asséné M. Faye.
Sur un autre registre, le responsable du Parti démocratique sénégalais à St-Louis a révélé au sujet de certains candidats à la députation suspectés d’être de mèche avec Benno Bokk Yakaar : « Il y a eu 47 listes, dont une trentaine a été financée par le pouvoir. Ce sont des gens qu’on connait et pour la plupart, ils n’ont pas les moyens de payer la location ».
Il a aussi fait remarquer que les observateurs du scrutin ont relevé que dans 90 bureaux, le vote a démarré tardivement.
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