Le professeur Assane DIAKHATÉ, directeur de l’UFR des Sciences de l'Éducation, de la Formation et du Sport (l’UFR) de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, a insisté mardi sur la nécessité d’adapter les pratiques en éducation aux exigences de la modernité. Cette démarche consistera notamment à stimuler le système congnitif dès la petite enfance.
« Si nous voulons redresser le développement du capital humain, il faut très tôt, stimuler l’enfant sur le plan cognitif », a-t-il dit, en expliquant que « les recherches en psychologie cognitive ont montré que c’est les mille premiers jours que se joue 80 % du développement du cerveau ».
« Si nous n’avons pas des pratiques adaptées capables d’impulser le système cognitif de l’enfant au départ, nous serons en retard », a-t-il laissé entendre. Il invite à s’approprier de la « théorie du baobab du capital humain » qui consiste à amorcer les activités psychologiques dès la petite enfance.
Le professeur Assane DIAKHATÉ s’exprimait en marge du lancement d’un colloque international sur le thème « De la petite enfance à l’âge adulte : transformer les pratiques en éducation ». D’éminents experts, chercheurs et professionnels des sciences de l’éducation prennent part à cette rencontre.
« Si nous voulons redresser le développement du capital humain, il faut très tôt, stimuler l’enfant sur le plan cognitif », a-t-il dit, en expliquant que « les recherches en psychologie cognitive ont montré que c’est les mille premiers jours que se joue 80 % du développement du cerveau ».
« Si nous n’avons pas des pratiques adaptées capables d’impulser le système cognitif de l’enfant au départ, nous serons en retard », a-t-il laissé entendre. Il invite à s’approprier de la « théorie du baobab du capital humain » qui consiste à amorcer les activités psychologiques dès la petite enfance.
Le professeur Assane DIAKHATÉ s’exprimait en marge du lancement d’un colloque international sur le thème « De la petite enfance à l’âge adulte : transformer les pratiques en éducation ». D’éminents experts, chercheurs et professionnels des sciences de l’éducation prennent part à cette rencontre.