Le syndrome de la violence plus que jamais de mise dans les universités sénégalaises. Au moment où la présence des policiers secoue l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), notre reporter à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, nous y annonce un front au sein de ce campus. « C’est très très chaud ». Pis, la tension est toujours de mise. Des blessés sont même notés. Il s’agit de trois victimes du côté des forces de l’ordre et un du côté du corps professoral. En effet, dit notre reporter, un professeur de sociologie est atteint.
Du côté des étudiants en 1ère année, c’est le non paiement des bourses qui ne passe pas. Au moment où ceux en 2ème année qui continuent de percevoir 18.000 F CFA, réclament le taux de 36.000 F CFA de mise après le passage de la 1ère à la 2ème année. Dans tous les cas, la tension demeure à l’UGB où au-delà des affrontements entre forces de l’ordre, les étudiants ne se ratent pas entre eux. En ce sens que la coordination des étudiants qui se dit seule à pouvoir décréter le mot d’ordre de grève, n’est pas d’accord avec le mouvement de ceux en 1ère et 2ème année. Pressafrik.com suit cela de très près.
Du côté des étudiants en 1ère année, c’est le non paiement des bourses qui ne passe pas. Au moment où ceux en 2ème année qui continuent de percevoir 18.000 F CFA, réclament le taux de 36.000 F CFA de mise après le passage de la 1ère à la 2ème année. Dans tous les cas, la tension demeure à l’UGB où au-delà des affrontements entre forces de l’ordre, les étudiants ne se ratent pas entre eux. En ce sens que la coordination des étudiants qui se dit seule à pouvoir décréter le mot d’ordre de grève, n’est pas d’accord avec le mouvement de ceux en 1ère et 2ème année. Pressafrik.com suit cela de très près.