C’est comme la fameuse pierre de Moustapha Niasse qui apparaissait comme la pierre du héros, alors que quelque part c’était une négation des forces républicaines de la police chargé du maintien régalien de l’ordre. Ou encore de l’insolence notoire de Thiat de Y’en Marre sur Canalinfo en parlant d'Abdoulaye Wade. Les insultes de Niagass du bataillon blindé envers la Première....
Rappelons nous aussi quand Abdoulaye Wade répliquait au journaliste Mamoudou Ibra Kane : « cela ne ressemble pas à une question, mais plutôt à une insolence, mais, comme j’ai l’habitude, je laisse passer », alors que l’ancien journaliste de Walf avait posé une question « déplacée » (Ndlr : vous parlez trop) eu égard au Chef de l’Etat.
Ça ne dérangeait personne à l’époque, mais aujourd’hui, les choses ont changé. Et c'est un bon début et Macky Sall sait se faire respecter.
En regardant dans le rétroviseur, on se rend compte que la sortie d’Amy Collé Dieng (Ndlr : dans un cadre privé : Whatshapp) n’est que la suite d’une succession logique d’une certaine tendance des Sénégalais à verser dans l’hyperbole quand il s’agit de critiquer le pouvoir en place.
Les bêtises d’hier, les erreurs d’hier, les bêtises d’aujourd’hui et les erreurs d’aujourd’hui. Et Amy Colé Dieng a fait une bêtise et une erreur en parlant de cette façon. Mais, elle n’est pas la première et l’actuel Secrétaire d'État chargé du Suivi du Programme d'urgence de développement communautaire (Pudc), a fait aussi pareil, sinon plus. Suivez mon regard…
Massène DIOP Leral.net
Rappelons nous aussi quand Abdoulaye Wade répliquait au journaliste Mamoudou Ibra Kane : « cela ne ressemble pas à une question, mais plutôt à une insolence, mais, comme j’ai l’habitude, je laisse passer », alors que l’ancien journaliste de Walf avait posé une question « déplacée » (Ndlr : vous parlez trop) eu égard au Chef de l’Etat.
Ça ne dérangeait personne à l’époque, mais aujourd’hui, les choses ont changé. Et c'est un bon début et Macky Sall sait se faire respecter.
En regardant dans le rétroviseur, on se rend compte que la sortie d’Amy Collé Dieng (Ndlr : dans un cadre privé : Whatshapp) n’est que la suite d’une succession logique d’une certaine tendance des Sénégalais à verser dans l’hyperbole quand il s’agit de critiquer le pouvoir en place.
Les bêtises d’hier, les erreurs d’hier, les bêtises d’aujourd’hui et les erreurs d’aujourd’hui. Et Amy Colé Dieng a fait une bêtise et une erreur en parlant de cette façon. Mais, elle n’est pas la première et l’actuel Secrétaire d'État chargé du Suivi du Programme d'urgence de développement communautaire (Pudc), a fait aussi pareil, sinon plus. Suivez mon regard…
Massène DIOP Leral.net