L’Office national de l’assainissement du Sénégal (Onas) a tenu, ce jeudi 15 novembre, une rencontre d’information et de sensibilisation avec les partenaires sociaux du projet de dépollution de la baie de Hann. Ladite activité, tenue au ministère de l’Environnement, a enregistré la présence du préfet de Dakar, du directeur général de l’Onas et des maires de Hann, de Mbao et de Thiaroye.
En effet, face à la forte dégradation de l’environnement de la baie de Hann liée notamment aux rejets des eaux usées provenant des établissements industriels et des ménages installés le long de celle-ci, l’Onas, avec le concours des partenaires techniques et financiers, a entrepris un dialogue avec les acteurs des principaux concernés : communes de Hann, Mbao et Thiaroye.
«Nous sommes ici pour discuter avec les populations sur le projet de la baie de Hann, qui va surtout régler le problème de 600 mille personnes. Ce projet n’est pas seulement celui de l’Onas. C’est un projet avec beaucoup d’acteurs : les populations, les partenaires techniques et financiers. Pour l’Onas, il était important que cette communication puisse passer pour une appropriation des projets par l’ensemble des populations», a expliqué Lassana Gagny Sakho, Dg de l’Onas.
Venus de Yarakh, de Mbao et de Thiaroye, les imams, les associations de pêcheurs, les chefs de village, les regroupements communautaires et sportifs ont pu présenter leurs récriminations et leurs suggestions auprès de la Direction générale de l’Onas. Sur ce, des dispositions pour le processus de traitement des déchets solides ainsi que le traitement des eaux usées produites par les industrielles ont été prises.
En effet, le projet de dépollution de la baie de Hann concerne dix communes. Lesdites communes concernées par ce projet sont : Hann Bel-Air, Dalifort, Thiaroye-sur-Mer, Mbao, Guinaw Rail Nord et Guinaw Rail Sud. Celles de Tivaouane Diacksao, Diameguene Sicap Mbao et Thiaroye-Gare sont également concernées. Dans cette perspective, chaque commune citée s’est appropriée du projet par les maires et leaders des regroupements présents lors de cette rencontre.
Dans cette première phase du projet, le financement est à la hauteur de 60 milliards de francs Cfa. Et un financement complémentaire est attendu avec l'intervention d’autres partenaires techniques et financiers. «Il nous faut un peu de temps pour en finir avec l’appel d’offres. Le travaux seront lancés dans les plus brefs délais», a précisé le directeur général de l’Onas, Lassana Gagny Sakho.
SENEWEB
En effet, face à la forte dégradation de l’environnement de la baie de Hann liée notamment aux rejets des eaux usées provenant des établissements industriels et des ménages installés le long de celle-ci, l’Onas, avec le concours des partenaires techniques et financiers, a entrepris un dialogue avec les acteurs des principaux concernés : communes de Hann, Mbao et Thiaroye.
«Nous sommes ici pour discuter avec les populations sur le projet de la baie de Hann, qui va surtout régler le problème de 600 mille personnes. Ce projet n’est pas seulement celui de l’Onas. C’est un projet avec beaucoup d’acteurs : les populations, les partenaires techniques et financiers. Pour l’Onas, il était important que cette communication puisse passer pour une appropriation des projets par l’ensemble des populations», a expliqué Lassana Gagny Sakho, Dg de l’Onas.
Venus de Yarakh, de Mbao et de Thiaroye, les imams, les associations de pêcheurs, les chefs de village, les regroupements communautaires et sportifs ont pu présenter leurs récriminations et leurs suggestions auprès de la Direction générale de l’Onas. Sur ce, des dispositions pour le processus de traitement des déchets solides ainsi que le traitement des eaux usées produites par les industrielles ont été prises.
En effet, le projet de dépollution de la baie de Hann concerne dix communes. Lesdites communes concernées par ce projet sont : Hann Bel-Air, Dalifort, Thiaroye-sur-Mer, Mbao, Guinaw Rail Nord et Guinaw Rail Sud. Celles de Tivaouane Diacksao, Diameguene Sicap Mbao et Thiaroye-Gare sont également concernées. Dans cette perspective, chaque commune citée s’est appropriée du projet par les maires et leaders des regroupements présents lors de cette rencontre.
Dans cette première phase du projet, le financement est à la hauteur de 60 milliards de francs Cfa. Et un financement complémentaire est attendu avec l'intervention d’autres partenaires techniques et financiers. «Il nous faut un peu de temps pour en finir avec l’appel d’offres. Le travaux seront lancés dans les plus brefs délais», a précisé le directeur général de l’Onas, Lassana Gagny Sakho.
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