« La démarche entreprise par le Président de la République du Sénégal, pour aborder la récente crise ayant entraîné d’importantes pertes en vies humaines, lors de son discours de clôture de son dialogue, doit être fustigée, en dehors de toute considération politique.
Il a rappelé hier vendredi 24 juin 2023 que le Présidence de la République est une fonction politique mais il n’en demeure pas moins le Président de tous les sénégalais même ses ennemis, s’il en existe bien sûr.
La violence doit être condamnée sous toutes ses formes et de manière ferme nous le reconnaissons et l’acceptons. Cependant un Président qui prend la peine de faire des tweets pour s’indigner ou s’attrister de la disparition d’un seul garçon d’une autre nationalité, devrait pouvoir le faire pour seize (16) (bilan officiel) de ses compatriotes quelles que puissent être les conditions de leur disparition.
Nous autres ne sommes pas tenus d’aimer ni d’être d’accord avec lui mais il est notre Président et son serment lui oblige de bien nous traiter même lorsque notre opinion diverge avec ses démarches. Un Président doit avoir de la hauteur et un esprit de dépassement démesuré. L’intérêt d’un parti politique n’est pas forcément l’intérêt d’une nation.
A mon avis, dialoguer c’est rechercher la paix et la cohésion et cela passe forcément par la compassion pour ses compatriotes de toutes appartenance politique, religieuse, ethnique et géographique… », a écrit Seydina Oumar Touré.
Il a rappelé hier vendredi 24 juin 2023 que le Présidence de la République est une fonction politique mais il n’en demeure pas moins le Président de tous les sénégalais même ses ennemis, s’il en existe bien sûr.
La violence doit être condamnée sous toutes ses formes et de manière ferme nous le reconnaissons et l’acceptons. Cependant un Président qui prend la peine de faire des tweets pour s’indigner ou s’attrister de la disparition d’un seul garçon d’une autre nationalité, devrait pouvoir le faire pour seize (16) (bilan officiel) de ses compatriotes quelles que puissent être les conditions de leur disparition.
Nous autres ne sommes pas tenus d’aimer ni d’être d’accord avec lui mais il est notre Président et son serment lui oblige de bien nous traiter même lorsque notre opinion diverge avec ses démarches. Un Président doit avoir de la hauteur et un esprit de dépassement démesuré. L’intérêt d’un parti politique n’est pas forcément l’intérêt d’une nation.
A mon avis, dialoguer c’est rechercher la paix et la cohésion et cela passe forcément par la compassion pour ses compatriotes de toutes appartenance politique, religieuse, ethnique et géographique… », a écrit Seydina Oumar Touré.