Le ministre Zahid Hamidi, cité par le journal The Star, a déclaré que ces fosses communes avaient été mises au jour à proximité de la frontière avec la Thaïlande. "Mais nous ne savons pas combien il y en a. Nous allons probablement retrouver d'autres corps", a dit le ministre.
Le journal Utusan, citant une source non identifiée, avait rapporté auparavant qu'une trentaine de fosses communes renfermant "des centaines de squelettes" avaient été découvertes.
Le Star, citant aussi des sources non identifiées, avait parlé de fosses communes contenant les corps de "près de 100 migrants Rohingyas", minorité musulmane persécutée vivant essentiellement en Birmanie.
D'après ces journaux, les fosses ont été localisées près de Padang Besar et Wang Kelian, localités situées le long de la frontière avec la Thaïlande, dans l'État malaisien de Perlis.
Le ministre de l'Intérieur s'est dit effaré que de tels charniers aient pu être découverts en Malaisie. Jusqu'à présent, Kuala Lumpur avait démenti que des camps de détention de migrants ou des fosses communes puissent exister sur son sol.
Le journal Utusan, citant une source non identifiée, avait rapporté auparavant qu'une trentaine de fosses communes renfermant "des centaines de squelettes" avaient été découvertes.
Le Star, citant aussi des sources non identifiées, avait parlé de fosses communes contenant les corps de "près de 100 migrants Rohingyas", minorité musulmane persécutée vivant essentiellement en Birmanie.
D'après ces journaux, les fosses ont été localisées près de Padang Besar et Wang Kelian, localités situées le long de la frontière avec la Thaïlande, dans l'État malaisien de Perlis.
Le ministre de l'Intérieur s'est dit effaré que de tels charniers aient pu être découverts en Malaisie. Jusqu'à présent, Kuala Lumpur avait démenti que des camps de détention de migrants ou des fosses communes puissent exister sur son sol.