Cheikh Bamba Dièye, Secrétaire général du Fsd/Bj, s'est montré très critique à l'endroit du Président de la République, Macky Sall.
Invité de l’émission «Opinion» sur Walf Tv, l'ancien ministre de la Communication de Macky Sall soutient que «tout ce qu’on déplorait sous Wade, on le voit multiplié par dix avec le régime de Macky Sall».
L'ex-maire de Saint-Louis de 2009 à 2014 pense que «Macky Sall a changé en tout», et qu’il ne reconnait plus l'homme qu'il a côtoyé et avec qui il a livré bataille pour un Sénégal des ruptures. Cheikh Bamba Dièye rappelle que Macky n'a respecté aucune de ses promesses. Il avait pris l'engagement de diminuer la taille du gouvernement et de réduire le train de vie de l’Etat et ne l'a pas fait. “Le mot rupture, Macky Sall ne l’a qu’à la bouche. Il ne va pas dans la bonne direction», soutient-il.
Parlant de la réduction du mandat présidentiel, Cheikh Bamba Dièye croit savoir que «nous sommes encore loin de cette volonté du Président à respecter sa promesse». Mais, avertit-il, «quel que soit le chemin pris par le Président, nous nous attendons que cela aboutisse au respect de sa promesse, donc à la réduction du mandat. L’important, c’est que nous ayons une élection présidentielle en 2017».
Invité de l’émission «Opinion» sur Walf Tv, l'ancien ministre de la Communication de Macky Sall soutient que «tout ce qu’on déplorait sous Wade, on le voit multiplié par dix avec le régime de Macky Sall».
L'ex-maire de Saint-Louis de 2009 à 2014 pense que «Macky Sall a changé en tout», et qu’il ne reconnait plus l'homme qu'il a côtoyé et avec qui il a livré bataille pour un Sénégal des ruptures. Cheikh Bamba Dièye rappelle que Macky n'a respecté aucune de ses promesses. Il avait pris l'engagement de diminuer la taille du gouvernement et de réduire le train de vie de l’Etat et ne l'a pas fait. “Le mot rupture, Macky Sall ne l’a qu’à la bouche. Il ne va pas dans la bonne direction», soutient-il.
Parlant de la réduction du mandat présidentiel, Cheikh Bamba Dièye croit savoir que «nous sommes encore loin de cette volonté du Président à respecter sa promesse». Mais, avertit-il, «quel que soit le chemin pris par le Président, nous nous attendons que cela aboutisse au respect de sa promesse, donc à la réduction du mandat. L’important, c’est que nous ayons une élection présidentielle en 2017».