En présence de Mme Mie Takaki, Directrice Générale de Plan/Sénégal, de Moustapha Sow, Aly Faye, respectivement, responsables régionaux de Saint-Louis et de Kaolack de cette Ong et de plusieurs autres cadres et partenaires du Plan, Mme Zeynab Kâne a réitéré l’engagement indéfectible de cette Ong à poursuivre sa collaboration étroite avec l’Etat, en vue de contribuer efficacement à la mise en œuvre de la politique du gouvernement en matière de scolarisation des filles, de promotion des droits des enfants.
Mme Kâne a longuement insisté sur l’urgence et la nécessité de mobiliser toutes les énergies pour maintenir les filles à l’école, protéger ces dernières contre les grossesses précoces, les violences basées sur le genre, les déperditions scolaires, etc.
Mme Takaki et Moustapha Sow se sont adressés aussi à la presse pour rappeler que, dans le cadre de son programme national quinquennal 2012/2016, le Plan International (Organisation Non Gouvernementale qui œuvre pour le développement et la promotion de l’enfance) envisage d’investir au Sénégal plus de 26 milliards CFA qui permettront d’atteindre des objectifs qui tournent essentiellement autour de l’éducation de qualité (23% du financement), de la protection de l’enfant (18%), de la promotion du leadership économique et social (25%), de la préservation et de l’amélioration d’un environnement sain pour les enfants (34%).
Ils ont, à ce propos, précisé que les actions de cette Ong s’inscrivent dans le cadre de sa nouvelle approche (DCCE), déjà opérationnelle depuis trois ans, intitulée « Le Développement Communautaire Centré sur l’Enfant ».
Les responsables de Plan/Sénégal n’ont pas manqué de rappeler que la pauvreté, notamment, chez les enfants, est une cause et une conséquence de la dénégation des droits. Les jeunes filles et garçons privés de leur droit à l’éducation et au développement courent un grand risque d’être pris dans un cycle intergénérationnel de pauvreté et de privation.
La pauvreté, ont-ils souligné, constitue également une des principales raisons qui empêchent les enfants d’exercer leurs droits à la survie et au développement de leur plein potentiel.
L’approche DCCE, ont-ils laissé entendre, est la matérialisation de la vision de cette ONG, qui se fonde sur l’action collective de la société civile à renforcer les capacités des enfants pour réaliser leur potentiel, et sur les actions des Etats à tenir leurs engagements au titre de la Convention des Nations Unies relative aux Droits de l’Enfant.
Selon Mme Mie Takaki et ses proches collaborateurs, il sera question, dans le cadre de la mise en œuvre de ce programme quinquennal, d’accorder une priorité à l’éducation de qualité ( en contribuant à l’amélioration de la scolarisation des filles et de leur taux de réussite à l’école), à une meilleure protection des enfants (lutte contre les abus sexuels, les pires formes de travail, la mendicité forcée, etc), à la prévention des catastrophes naturelles (les inondations et leurs conséquences désastreuses sur l’éducation des enfants) et à l’amélioration d’un cadre de vie propice au développement de l’enfance.
Mbagnick Kharachi Diagne
Mme Kâne a longuement insisté sur l’urgence et la nécessité de mobiliser toutes les énergies pour maintenir les filles à l’école, protéger ces dernières contre les grossesses précoces, les violences basées sur le genre, les déperditions scolaires, etc.
Mme Takaki et Moustapha Sow se sont adressés aussi à la presse pour rappeler que, dans le cadre de son programme national quinquennal 2012/2016, le Plan International (Organisation Non Gouvernementale qui œuvre pour le développement et la promotion de l’enfance) envisage d’investir au Sénégal plus de 26 milliards CFA qui permettront d’atteindre des objectifs qui tournent essentiellement autour de l’éducation de qualité (23% du financement), de la protection de l’enfant (18%), de la promotion du leadership économique et social (25%), de la préservation et de l’amélioration d’un environnement sain pour les enfants (34%).
Ils ont, à ce propos, précisé que les actions de cette Ong s’inscrivent dans le cadre de sa nouvelle approche (DCCE), déjà opérationnelle depuis trois ans, intitulée « Le Développement Communautaire Centré sur l’Enfant ».
Les responsables de Plan/Sénégal n’ont pas manqué de rappeler que la pauvreté, notamment, chez les enfants, est une cause et une conséquence de la dénégation des droits. Les jeunes filles et garçons privés de leur droit à l’éducation et au développement courent un grand risque d’être pris dans un cycle intergénérationnel de pauvreté et de privation.
La pauvreté, ont-ils souligné, constitue également une des principales raisons qui empêchent les enfants d’exercer leurs droits à la survie et au développement de leur plein potentiel.
L’approche DCCE, ont-ils laissé entendre, est la matérialisation de la vision de cette ONG, qui se fonde sur l’action collective de la société civile à renforcer les capacités des enfants pour réaliser leur potentiel, et sur les actions des Etats à tenir leurs engagements au titre de la Convention des Nations Unies relative aux Droits de l’Enfant.
Selon Mme Mie Takaki et ses proches collaborateurs, il sera question, dans le cadre de la mise en œuvre de ce programme quinquennal, d’accorder une priorité à l’éducation de qualité ( en contribuant à l’amélioration de la scolarisation des filles et de leur taux de réussite à l’école), à une meilleure protection des enfants (lutte contre les abus sexuels, les pires formes de travail, la mendicité forcée, etc), à la prévention des catastrophes naturelles (les inondations et leurs conséquences désastreuses sur l’éducation des enfants) et à l’amélioration d’un cadre de vie propice au développement de l’enfance.
Mbagnick Kharachi Diagne