Au terme de la restitution du projet pilote de budgétisation communale sensible au genre dans les régions de Matam et de Saint-Louis, un déficit d’intégration de ce paradigme a été noté dans les orientations budgétaires dans la municipalité.
L’étude, mise en œuvre par la plateforme « Beutou Askanwi », révèle « des ambigüités autour du concept » chez la plupart des responsables communaux » et une « faible représentation des femmes dans le processus d’élaboration du budget de la Commune ».
À cela, s’ajoutent « des difficultés dans la mobilisation d’acteurs concernés afin d’exécuter la volonté d’élaborer un budget participatif ».
Mame Penda Diouf SENE, la coordonnatrice du projet pour la zone, a salué, toutefois, la volonté affichée la Mairie de Saint-Louis d’ingérer la dimension genre de sa politique, après l’annonce par cette dernière, de prendre en compte ce concept dans son budget de l’année 2017.
En plaidant pour le « relèvement du niveau de recrutement féminin », encore et dessous de la moyenne, Mme SENE affirme qu’avec l’enclenchement du volet opérationnel, « la tendance pourra se renverser ».
Mme Aida Mbaye DIENG et M. Lamine NDIAYE, adjoints au maire de Saint-Louis, se sont félicités de l’apport considérable de ce projet dans la claire compréhension des enjeux liés au genre et ses mécanismes d’introduction dans les démarche budgétaires.
> Voici les explications de Mme SENE et les impressions des adjoints au maire
L’étude, mise en œuvre par la plateforme « Beutou Askanwi », révèle « des ambigüités autour du concept » chez la plupart des responsables communaux » et une « faible représentation des femmes dans le processus d’élaboration du budget de la Commune ».
À cela, s’ajoutent « des difficultés dans la mobilisation d’acteurs concernés afin d’exécuter la volonté d’élaborer un budget participatif ».
Mame Penda Diouf SENE, la coordonnatrice du projet pour la zone, a salué, toutefois, la volonté affichée la Mairie de Saint-Louis d’ingérer la dimension genre de sa politique, après l’annonce par cette dernière, de prendre en compte ce concept dans son budget de l’année 2017.
En plaidant pour le « relèvement du niveau de recrutement féminin », encore et dessous de la moyenne, Mme SENE affirme qu’avec l’enclenchement du volet opérationnel, « la tendance pourra se renverser ».
Mme Aida Mbaye DIENG et M. Lamine NDIAYE, adjoints au maire de Saint-Louis, se sont félicités de l’apport considérable de ce projet dans la claire compréhension des enjeux liés au genre et ses mécanismes d’introduction dans les démarche budgétaires.
> Voici les explications de Mme SENE et les impressions des adjoints au maire
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